bon j'ai dis à mon collÚgue qu'il était dépressif, qu'il n'avait pas sourit une seule fois en 3 jours.
qu'il fallait qu'il arrĂȘte de me gaver.
au départ il m'a dit "rentre chez toi", sauf qu'à 20km de mon domicile à 7h du mat...
donc j'allais pour péter gentiment un cùble (et débrancher le sien pour qu'il me ramÚne)
puis finalement j'ai déballé mon sac.
je pense pas qu'il s'y attendait.
le coup du dépressif et qu'il n'avait pas à me le faire subir.
au final on a réussi a finir le nettoyage d'usine.
une usine d'étiquettes on a lessivé tous les sols.
et j'ai réparé l'aspirateur en 5 minutes parce qu'il n'aspirait plus et ça me rendait dingue
de ne pas avoir du matériel fonctionnel
voilĂ chaud.
si je n'aimais pas mon métier je serai parti
la semaine prochaine je ne serai pas avec lui. je vais bosser avec un homme Ă la retraite
mais qui fait de l'intérim. il a 69 ans !!!
c'est le problĂšme de cette boite, ils n'arrivent pas Ă se rajeunir et Ă innover.
ça sent la naphtaline quoi.
soit je tire ça vers le haut mais ça sera parfois violent pour eux
soit ils vont stagner et régresser
Ă eux de voir
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au passage je suis étonné qu'on fabrique encore des étiquettes en France.
mais c'est pour l'agroalimentaire il faut de la rĂ©activitĂ©. pas attendre des semaines pour ĂȘtre livrer des bobines pour coller sur les conserves ou les bouteilles