Quant aux français, surtout les petits et les sans grades, ceux qui ont du mal à s'adapter aux changements, ils en ont bavé avec la plus grave crise économique depuis celle de 29-33, et ils votent pour un candidat (très à droite ou très à gauche) qui leur donne à tord ou à raison de l'espoir, qui leur fait des promesses d'avenir meilleur tout de suite et sans effort : Le populisme, et c'est un grand classique dans la seconde partie des crises économiques.
Et puis la situation économique s'améliorant (et elle s'améliore incontestablement dans toute l'Europe) le populisme perd de son intérêt, et l'on retourne aux clivages droite-gauche classiques.