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les auteurs choisis d'Etienne

par ChristelleP » 29 nov. 2020 05:09

Etienne nous a présenté au long de cette semaine toute une série d'auteurs talentueux.

Bon cette semaine je vais partager quelques auteurs que j’apprécie…Etant donné mon age plus avancé j’imagine que certains ne connaissent pas ou peu ceux ci.
Peut être que cela donnera à certains l’envie de tester ceux-ci
Bonne semaine de trading à toutes et tous

James Clavell (10 octobre 1924 – 7 septembre 1994) est un écrivain, scénariste, réalisateur et producteur australien. Il est le plus connu pour son roman Un caïd (1962, partie de sa Saga asiatique) et comme co-scénariste du film La Grande Évasion (1963) mais aussi pour Shogun et Tai Pan /La Noble Maison. En gros des romans historiques mais pas totalement fidèles à la réalité (Comme notre ami Alexandre Dumas)

Un Caid (King Rat) est particulier et vaut le coup d’être lu. Il décrit entre autre les relations humaines dans un camp de prisonniers et le changement dans les rapports de force
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Au milieu de ses dix mille prisonniers, un homme surnommé The King use de toutes les ficelles pour survivre au mieux parmi tous ses camarades. Entre tractations, rivalités, amitiés et émotions, chacun se bat à sa façon pour quitter l'enfer de Changi.
Mais vous apprécierez aussi Shogun qui Futures adapté en une série télévisée qui Futures diffusée en 1980 en dix épisodes de 55 minutes. Le premier rôle Futures tenu par Richard Chamberlain,
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Dans les années 1600, John Blackthorne, un navigateur anglais qui a rêvé d'accomplir le tour du monde, aborde aux côtes du Japon. Et pour lui l'aventure commence dans ce pays inconnu, mystérieux, en proie à de sauvages divisions féodales tandis que s'accomplit l'irrésistible ascension de Toranaga - qui deviendra Shôgun, c'est-à-dire le dictateur, le maître du Japon. D'une foule de personnages infiniment vivants et divers - pères jésuites, guerriers, prostituées - se détache la figure de la très belle Mariko, épouse d'un samouraï et qui s'éprend de Blackthorne. Ils vivront ensemble un amour enveloppé de guet-apens, d'intrigues cruelles et d'assassinats.
Ainsi que Tai pan …La naissance de Hong-Kong qui maintenant est redevenu Chinoise le Bail de 100 ans étant écoulé
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L'action commence en janvier 1841 après la première guerre de l'opium. Le personnage central est Dirk Struan, Taï-Pan (grand chef) d'une compagnie de négoce appelée la Noble Maison, active dans le commerce du thé, de la soie, et la contrebande d'opium, et rival de Tyler Brock pour le contrôle du commerce anglo-chinois. Une haine mortelle sépare les deux hommes depuis que Struan a subi les rigueurs de Brock alors qu'il était mousse sous ses ordres.
Le roman commence avec la prise de contrôle de Hong Kong par les Britanniques. Un bateau arrive, avec à bord, Culum, fils de Dirk Struan, porteur de mauvaises nouvelles : une épidémie, dont il a réchappé de justesse, a décimé leur famille en Écosse. Dirk Struan reçoit également une lettre l'informant de la mise en faillite de la banque à laquelle il a confié sa fortune, et donc de sa Banqueroute imminente. La faillite de la banque a été provoquée par Tyler Brock qui dirige les actions de son frère de Londres. Il a aussi racheté les dettes de Struan et prendra le contrôle de son entreprise et de sa flotte si Struan ne peut payer dans trente jours. Celui-ci parvient à sauver son entreprise grâce au marchand chinois Jin-qua, qui lui prête l'argent nécessaire en lui imposant de strictes conditions commerciales ainsi que quatre faveurs à venir dont les conditions restent à préciser.
Dirk Struan et les autres marchands vont s'établir sur l'île de Hong Kong et commencer à bâtir Queen's Town dans la Vallée Heureuse, alors que les Chinois créent le village voisin de Tai Ping Shan. Les Européens sont bientôt confrontés à une grave épidémie de malaria qui emporte Robb Struan, aux relations conflictuelles avec les autorités chinoises, et au scepticisme du gouvernement britannique quant à l'intérêt de Hong Kong pour la Couronne. Le roman se termine par un typhon qui entraînera la mort de Dirk Struan et de sa concubine May-May, mais démontrera qu'il avait raison : Hong-Kong est un port exceptionnel, indispensable comme base pour le commerce britannique, car malgré la violence du typhon, la grande majorité des bateaux ancrés dans le port ont été préservés.
Et la suite Gai Jin puis La Noble maison

Re: les auteurs choisis d'Etienne

par ChristelleP » 29 nov. 2020 05:22

Dans un autre registre … Je trouve très interessant ces Journalistes Historiens qui réunissaient des informations sur un sujet pour le partager et retracer des moments importants de l’histoire…

C’est pour cela si ne vous les avez pas déjà lu je vous conseille fortement de parcourir ceux-ci

De Dominique Lapierre et Larry Collins
Ô Jérusalem

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Ô Jérusalem : c'est plus de cinquante millions de lecteurs dans vingt huit pays. Un livre référence qui permet de comprendre comme nul autre les sources d'un conflit qui secoue le monde depuis maintenant bientôt soixante ans.

Imposant ouvrage rédigé par deux journalistes qui retracent le conflit israélo-palestinien depuis la date du « Partage » opéré par les Nations-Unies le 29 novembre 1947 à Flushing Meadows, New-York .

Les hostilités commencent avant même la signature du Partage de la Palestine en novembre 1947. A partir de là, les deux camps s'équipent d'armes. Deux émissaires, l'un juif, l'autre arabe, manquent se croiser dans les bureaux d'un vendeur d'armes de guerre à Prague.
Les préparatifs sont restitués, scrupuleusement : mission de Golda Meïr aux USA, qui revient avec 50 millions de dollars, là où ses chefs ne pouvaient prétendre qu'à une maigre participation des juifs américains. Achat de surplus militaires aux Pays-Bas, affrètement de bateaux pour rapporter toutes ces armes jusqu'en Palestine
…..
Sous nos yeux des destins se nouent et s'achèvent, des êtres humains prennent vie grâce à une enquête serrée des deux auteurs et nous les voyons vivre, lutter, s'en sortir ou mourir. Avec empathie, avec consternation et sans juger non plus car tel n'est pas notre rôle.
Paris Brule t’il ?
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Il retrace l'histoire de la libération de Paris en 1944, en se basant sur des documents historiques. L'idée d'écrire ce livre est venu à Dominique Lapierre et Larry Collins lorsqu'ils ont lu dans un journal que Hitler avait donné l'ordre à von Choltitz de détruire Paris en 1944. Cet ouvrage a nécessité trois ans d'enquête, et plus de 3 000 protagonistes français, anglais, allemands et américains ont été interviewés
Le Cinquième cavalier (Politique-fiction)
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Dimanche 13 décembre : une lettre est déposée à la Maison-Blanche. Le plus fantastique chantage de tous les temps commence. Trente-six heures d'un suspense diabolique où va se jouer le destin de la plus grande ville du monde.
Trois terroristes palestiniens (freres et soeur) oeuvrant pour le compte de Kadhafi parviennent a dissimuler une bombe h en plein coeur de New-York . le maire dispose desormais de 36h pour convaincre les Israeliens de rendre leurs terres aux Palestiniens sous peine de voir sa ville rayée purement et simplement de la carte !
Et vous connaissez certainement aussi le roman écrit seulement par Dominique Lapierre

La Cité de la joie
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Le personnage central du roman, Paul Lambert, prêtre français dans le livre, est inspiré de la figure de deux religieux travaillant dans les bidonvilles de Calcutta en Inde : le père François Laborde et Gaston Grandjean, missionnaire suisse qui a changé son nom en Gaston Dayanand en adoptant la nationalité indienne en 1992.
Entre autres mérites, les ponts qu'il établit entre les différentes religions qui se côtoient dans ce bidonville de Calcutta sont un merveilleux message d'espoir.

Re: les auteurs choisis d'Etienne

par ChristelleP » 29 nov. 2020 05:45

Un autre registre aujourd’hui…Quelques auteurs de science-fiction peut être moins connus pour certains avec une sélection de quelques livres
A lire sans modération (pour patienter en attendant vos alertes )

Abraham Merritt - La Nef d'Ishtar (The Ship of Ishtar), 1923
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L’auteur :
Les histoires d'Abraham Merritt tournent de manière typique autour des thèmes convenus des pulp magazines : des civilisations perdues, des monstres hideux, etc. Ses héros sont des scandinaves ou des Irlandais galants, ses méchants sont des traîtres russes ou allemands (selon la géopolitique de l'époque) et ses héroïnes sont souvent virginales, mystérieuses et toujours très légèrement vêtues.
L'originalité d'Abraham Merritt par rapport aux autres auteurs de pulp fiction réside dans le style de sa prose fleurie et son penchant pour l'accumulation des adjectifs et des détails. L'amour de Merritt pour les micro-descriptions complète avec bonheur le style pointilliste des illustrations de Bok et sert souvent à éclairer en les radicalisant les tendances fétichistes de la SF pulp.
A lire aussi Le visage dans l’abime, Le gouffre de la lune…

Le livre :
Kenton, un archéologue new-yorkais, étudie une maquette de galère antique envoyée par un collègue et ami. Soudain, cette reproduction en pierre se met à vibrer entre ses doigts et il se retrouve projeté sur le navire en plein conflit entre deux dieux qui se partagent le navire…
Tanith Lee - La Saga d'Uasti
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L’auteur :
Tanith Lee, née à Londres le 19 septembre 1947 et morte le 24 mai 2015 (à 67 ans), est une romancière anglaise ayant à son actif près de 70 romans dont 22 publiés en France
Elle a reçu le prix World Fantasy de la meilleure nouvelle en 1983 et 1984, et le prix British Fantasy du meilleur roman en 1980 pour Le Maître de la mort.
Née en Angleterre, elle s'est rapidement imposée comme une des voix les plus originales des littératures de l'imaginaire. Œuvrant avec le même bonheur dans la science-fiction, la fantasy ou l'épouvante, elle compte parmi ses chefs-d'œuvre le formidable cycle du Dit de la Terre Plate. La saga d'Uasti, qui rassemble La déesse voilée,Vazcor et La quête de la sorcière blanche, en est un autre, qui revêt de plus l'attrait des meilleurs Contes des Mille et Une Nuits.

Les livres :
Née du feu d'un volcan, Uasti, la mystérieuse déesse voilée, va parcourir le monde des hommes à la recherche de son destin. Tour à tour épouse de voleur ou de roi, guérisseuse, guerrière, sorcière, elle finira par comprendre le mystère de ses origines et se retirer de l'autre côté de l'océan. Mais elle a laissé derrière elle son fils, Tuvek, élevé par les barbares dans l'ignorance du secret de sa naissance. Lorsqu'il apprendra de qui il est l'enfant, Tuvek va jurer de se venger de cette mère qui l'a abandonné. Fort des pouvoirs magiques que son sang lui a transmis, il va aussi traverser les mers pour traquer sans relâche celle qu'il hait plus que tout au monde, sa mère, Uasti la sorcière blanche...
Roger Zelazny- Le cycle des Princes d’Ambre
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L’auteur :
Après des débuts dans la poésie, Roger Zelazny (1937-1995) obtient le succès dès son premier roman, Toi, l'immortel, qui obtient le prix Hugo en 1966 à égalité avec Dune de Frank Herbert. Il réitère l'exploit deux ans plus tard avec Seigneur de lumière. Au total, il remportera six prix Hugo, ce qui fait de lui l'un des auteurs de science-fiction les plus primés.
Son oeuvre est une relecture des mythes, qui n'hésite pas à faire se croiser la religion, la magie et la technologie, comme dans Seigneur de lumière qui prend pour cadre la mythologie hindoue. Ses textes sont remplis de bruit et de fureur, et ce n'est sans doute pas un hasard si le sujet de maîtrise de Zelazny portait sur le drame élisabéthain. Ainsi sa décalogie des Princes d'Ambre met en scène un évadé d'asile se disputant la domination du royaume d'Ambre et constitue une référence de la fantasy.

Nombre des personnages inventés par Zelazny sont des démiurges, des êtres dotés de pouvoirs, ce qui paradoxalement ne les rend ni vraiment plus forts, ni inhumains. Des Princes d'Ambre à l'Île des morts, des Clés de décembre à Toi, l'immortel, ses héros sont des dieux pour ceux qui les entourent, mais rarement pour eux-mêmes.

Le livre :
Une vue atypique des mondes parallèles !!
Voici l'un des cycles majeurs de la fantasy. Singulièrement, il débute dans une chambre d'hôpital, avec un amnésique pour personnage principal. Mais la mémoire revient progressivement à Corwin : il est l'un des neuf princes d'Ambre, le monde réel dont la terre n'est qu'une des nombreuses ombres projetées. Il est l'héritier du trône, laissé vacant par son père Obéron. Une gigantesque lutte pour le pouvoir s'est engagée entre les membres de la famille, et bien inspiré sera celui qui devinera qui complote avec ou contre qui. Corwin doit retourner à Ambre, y redécouvrir les pouvoirs d'une Marelle bien singulière et d'un jeu de tarot aux facultés extraordinaires. Oeuvre hallucinée, magnifique épopée truffée de références mythologiques et de clins d'oeil réjouissants au monde moderne, Le Cycle des princes d'Ambre, par sa densité et son originalité, est à placer parmi les plus grandes réussites de la fantasy.
John Brunner - Le troupeau aveugle 1972
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Pour les connaisseurs vous reconnaitrez qui a fait cette couverture ! Philippe C…

L’auteur :
Les thèmes développés dans ses romans se déroulent le plus souvent dans des univers dystopiques et ou cyberpunk. Invasion de la publicité, pouvoirs des médias et de la censure, pouvoir des multinationales, technologies, perte des repères des humains, profusion des armes, guerre urbaine, environnement sont des thèmes récurrents de ses romans les plus reconnus : la pollution (Le Troupeau aveugle), les violences raciales (L'Orbite déchiquetée), le péril informatique (Sur l'onde de choc) ou la surpopulation (Tous à Zanzibar)

Le livre :
À la fin du xxe siècle, la pollution chimique est telle que la Méditerranée est un cloaque pestilentiel, que, certains jours, à New York, il pleut de l'acide et que l'eau du robinet n'est pas potable, que tout le monde ou presque souffre d'allergies, d'intolérances, que les microbes résistent aux antibiotiques et la vermine aux insecticides, que la nourriture est rare et altérée par des pesticides, que l'espérance de vie décroît régulièrement. Or l'ultime démarche que tente le philosophe écologiste contestataire Austin Train est vouée à l'échec.

Re: les auteurs choisis d'Etienne

par ChristelleP » 29 nov. 2020 06:27

Bon un autre petit échantillon de romans que j’ai aimé lire dans différents registres
Bonne journée de Trading même si elle risque d’être calme demain

Vous verrez qu'il ne s'agit pas d'une Sherlock Holmes mais elle finit par résoudre chaque affaire

Charles Exbrayat - Série Imogène

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L’auteur :
Il est le fils de Louis Charles Marcel Exbrayat-Durivaux, journaliste puis publiciste
Après le baccalauréat passé à Nice, Exbrayat se prépare sans enthousiasme à devenir médecin mais, exclu de la faculté de Marseille pour chahut notoire, il échappe à l'École de Santé de Lyon et se tourne vers les sciences naturelles à Paris. Pour gagner sa vie, il enseigne successivement à Melun, Saint-Germain-en-Laye et au Lycée Henri IV de Paris, tout en potassant l'agrégation à laquelle il échoue. « C'est à ce moment qu'il fait deux rencontres capitales »1 : le philosophe Alain lui enseigne le mépris des honneurs et l'homme de théâtre Charles Dullin lui apprend à ne pas se soucier du succès. Comme Exbrayat le déclare lui-même : « Le premier m'invita à penser, le second à rêver »
Exbrayat abandonne peu après l'enseignement et travaille comme reporter, éditorialiste et critique littéraire
Après la guerre, « c'est un peu par hasard qu'il va débuter en littérature policière.
Il devient Directeur de la collection « Le Masque. Service secrets » dans les années 1960, pour le compte de la Librairie des Champs-Élysées
Devenu directeur du Club des Masques, Exbrayat n'en continue pas moins de faire paraître deux ou trois romans par année. Plusieurs de ses titres ont été adaptés au cinéma.

Les livres :
Charles Exbrayat s'illustre ensuite dans le roman policier humoristique, notamment grâce aux enquêtes du commissaire italien Roméo Tarchinini de Vérone, un petit policier bedonnant, volubile et fin gastronome, mais surtout grâce aux aventures de l'ineffable personnage d'Imogène McCarthery, une vieille fille écossaise aussi excentrique et délurée que naïvement patriotique.
Pour apprendre les bonnes manières et le standing en société…Un incontournable

Frédéric Dard - Le Standinge selon Bérurier

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Le livre :
Bérurier a courtisé la comtesse Troussal du Trousseau qui lui a reproché ses façons et lui a remis un manuel de bonnes manières afin de refaire son éducation. Pendant ce temps, Matthias, un ancien collègue, prend contact avec San-Antonio : deux élèves de l'école de police de Saint-Cyr où il enseigne ont été tués et lui-même a été victime de deux tentatives de meurtre. Il demande de l'aide à ses collègues parisiens. San-Antonio se rend alors à Saint-Cyr déguisé en élève et fait embaucher Bérurier comme professeur de bonnes manières pour mener l'enquête
Un livre très particulier parmi tous les beaux livres de Jack London
Je vous conseille aussi "Mikael Chien de cirque" que j'ai lu il y a très longtemps

Jack London - Le vagabond des étoiles

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L’auteur :
Je vous conseille de lire sa biographie plus que particulière (Wilkipedia)

Ce roman est à la fois un livre engagé, réaliste, et héritier direct du J'accuse d’Émile Zola, dénonçant le système carcéral américain. Passant sans arrêt du réalisme au fantastique, ce livre est à la fois un procès contre l'univers carcéral et un hommage à l'imaginaire.
La parution de son roman a créé un mouvement d’une telle ampleur que l’usage de la camisole de force a été supprimé pour les détenus de droit commun aux États-Unis. Le roman Futures surtout à l’origine d'une réforme des prisons en Californie.

Le livre :
En Californie, enfermé dans la Prison d'État de San Quentin, le professeur Darrel Standing attend son exécution. Sur ses huit années d'incarcération, il en a passé cinq dans les ténèbres d'un cachot surnommé la « mort vivante », pour rébellion. Il y a subi le supplice de la camisole de force.
Pour échapper à cette situation intenable, et suivant le conseil d’un codétenu avec lequel il communique par tapotements contre le mur, il pratique l'auto-hypnose, et s'évade par la pensée.

Re: les auteurs choisis d'Etienne

par ChristelleP » 29 nov. 2020 07:15

Pour finir je me devais de mettre à l’honneur les femmes pour vous faire découvrir quelques livres sur le sujet

Un basique « parait il » pour apprendre le minimum vital avec votre compagne Messieurs est votre compagnon Mesdames

John Gray - Les hommes viennent de mars et les femmes de Venus
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Les pours ou contre cette Théorie de la différence sexuelle :
Gray popularise dans ses livres et ses séminaires une théorie : étant donné leur complexion et leur histoire, l'homme et la femme ont hérité de structures psychiques fondamentalement dissemblables, qui les amènent à des conceptions de vie et à des comportements différents face à des situations semblables, même les situations anodines du quotidien. Au lieu de tenter de gommer ces différences, le mieux est de les connaître, de les accepter, et même de les transformer en un atout. La principale application de cette théorie réside dans la vie quotidienne des couples : l'enseignement de John Gray vise principalement à instaurer la paix dans les ménages. Il fait appel à l'empathie entre partenaires, vue comme source principale d'harmonie au sein du couple.
Cette théorie doit une part de son succès à la simplicité du propos, résumée dans la métaphore des deux planètes : pour les hommes mars, comme le dieu romain de la guerre et de la fertilité, et pour les femmes Vénus, comme la déesse romaine de l'amour et de la beauté. Elle a été déclinée dans une série de livres qui sont autant de variations d'une même théorie, jusqu'à une méthode de régime. Leurs tirages, dans de nombreuses langues, ont fait la fortune de l'auteur.
Les contempteurs de cette théorie ont pointé deux défauts principaux. Tout d'abord elle caricature les deux sexes, leur attribuant des caractéristiques prétendument héritées de leurs fonctions primitives, avec des illustrations puisées dans l'organisation sociale préhistorique, laissant peu de place au changement de civilisation. Ensuite, par essence, elle fait entrer les individus dans une catégorisation biologique binaire (masculin/féminin), méconnaissant les différences sociales, ethniques, culturelles, etc. D'autres critiques, plus polémiques, relèvent un ton moralisateur et un style très répétitif. Gray divise beaucoup : il est conseillé par certains thérapeutes du couple, qui le considèrent comme un bon vulgarisateur, et déconseillé par d'autres, qui le voient comme un sermonneur sans finesse.

Le livre :
Un homme et une femme n’ont ni la même conception de l’amour, ni le même code comportemental ou linguistique pour l’exprimer. Les dissemblances sont si fortes que, dans “Les hommes viennent de mars, les femmes viennent de Vénus”, le psychothérapeute John Gray n’hésite pas à les comparer à des êtres débarqués de deux planètes différentes : mars pour les hommes, qui importent dans la sphère affective les valeurs de l’action, du pouvoir, de la compétence ; Vénus pour les femmes, qui privilégient l’expression des émotions, l’harmonie des échanges, la créativité.
Jusque-là, rien de nouveau. Mais si ce thérapeute est devenu un phénomène aux Etats-Unis (8 millions d’exemplaires de son best-seller vendus), c’est qu’il a le génie d’expliquer simplement ce qui nous semble si compliqué à saisir chez l’autre. Certes, ses pistes comportementales ne constituent pas la garantie de réussir parfaitement sa relation de couple, mais il paraît évident que, sans elles, on est assuré de la rater. La communication dans le couple est source de malentendus.
Plus difficile à lire ….à éviter le soir ….mais l’analyse d’une femme

Simone de Beauvoir - Le deuxième sexe
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Le livre :
À travers ce livre, Simone de Beauvoir vous parle de différents points de vue sur la femme par la biologie, la psychanalyse et le matérialisme historique. L’auteure essaie de montrer positivement la constitution de la réalité féminine. Elle soulève aussi la raison pour laquelle la femme est considérée comme étant l’Autre. On y découvre également à quelle envergure la femme est affectée par le point de vue de l’homme. Paru aux éditions Gallimard, « Le deuxième sexe, tome 1 : Les faits et les mythes » est un ouvrage sorti le 21 avril 1986.
Une fiction pour finir si bien écrite !

Margaret Atwood - La servante écarlate
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L’auteur :
Margaret Eleanor « Peggy » Atwood, née le 18 novembre 1939 à Ottawa (Ontario, Canada) est une romancière, poétesse et critique littéraire canadienne1. Elle est l'une des écrivaines canadiennes les plus connues, en particulier pour son roman La servante écarlate (The Handmaid's Tale), publié en français en 1985

Le livre :
Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d'esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, " servante écarlate " parmi d'autres, à qui l'on a ôté jusqu'à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l'austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler... En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté. Paru pour la première fois en 1985, La servante écarlate s'est vendu à des millions d'exemplaires à travers le monde. Devenu un classique de la littérature anglophone, ce roman, qui n'est pas sans évoquer le 1984 de George Orwell, décrit un quotidien glaçant qui n'a jamais semblé aussi proche, nous rappelant combien fragiles sont nos libertés. La série adaptée de ce chef-d'oeuvre de Margaret Atwood, diffusée sous le titre original The Handmaid's Tale, avec Elisabeth Moss dans le rôle principal, a été unanimement saluée par la critique.
Un petit dernier que j’ai trouvé mais qu’il faut que je lise. Ce n’est pas encore fait

Pierre Bourdieu- La domination masculine
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L’auteur :
Pierre Bourdieu (1930-2002)
Professeur de sociologie au Collège de France, il a écrit de nombreux ouvrages qui ont une influence majeure dans les sciences sociales aujourd'hui.

Le livre :
La domination masculine est tellement ancrée dans nos inconscients que nous ne l'apercevons plus, tellement accordée à nos attentes que nous avons du mal à la remettre en question.

La description ethnographique de la société kabyle, conservatoire de l'inconscient méditerranéen, fournit un instrument puissant pour dissoudre les évidences et explorer les structures symboliques de cet inconscient androcentrique qui survit chez les hommes et les femmes d'aujourd'hui.

Mais la découverte des permanences oblige à renverser la manière habituelle de poser le problème : comment s'opère le travail historique de déshistorisation ? Quels sont les mécanismes et les institutions, Famille, Église, École, État, qui accomplissent le travail de reproduction ? Est-il possible de les neutraliser pour libérer les forces de changement qu'ils entravent ?

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