allez on continue avec mes chouchous
Composante spéciale de la Marine nationale :
Force des fusiliers marins et commandos (FORFUSCO)
insigne des commandos ayant réussi le stage commando
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Commando de Montfort (appui et destruction à distance)
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Le commando de Montfort est une unité d'élite des forces spéciales de l'armée française. C'est l'un des sept commandos marine de la Marine nationale française. Toutes ces unités partagent les mêmes fondamentaux : un entraînement et un savoir-faire communs. Ces soldats ont d'abord fait leurs armes dans des unités conventionnelles avant de tenter la sélection drastique des forces spéciales. Les forces spéciales à l'instar du commando de Montfort, restent des unités d'intervention dédiées à des missions de haute valeur.
Le commando de Montfort est sous le commandement organique de l'amiral commandant la FORFUSCO. Il est spécialisé sous l'autorité du Commandement des opérations spéciales (COS) depuis 19921.
Jusqu'en 2001, le commando était spécialisé dans l'antiterrorisme terrestre et maritime, l'assaut en mer, la libération d'otages, l’extraction de ressortissants, la lutte contre les narcotrafiquants et la piraterie maritime.
Depuis lors, une réorganisation des commandos marine attribue une spécialité à chaque unité. « de Montfort » est choisi pour la reconnaissance et est spécialisé dans l'appui et la destruction à distance. Il est spécialisé dans le combat, le renseignement tactique ainsi que les actions d’environnement. Les membres de ce commando maîtrisent tous les modes d‘infiltrations (terrestre, nautique et aéronautique) et disposent d’éléments spécialisés dans l’observation et la neutralisation d’objectifs.
Dans ce cadre, il dispose de tireurs d’élite et de matériel lourd (mortiers, postes de tirs anti-chars…) ainsi que de moyens de désignation et d'éclairage pour conduite d'appui-feu aériens ou d'artillerie terrestre, qu'il peut mettre au profit des six autres commandos marine.
Les actions du commando de Montfort s'appliquent à des opérations dans un contexte hautement hostile et agissant avec un effectif réduit. Il participe à ce titre régulièrement aux missions de lutte contre le narcotrafic aux Antilles et en Méditerranée.
Sa devise est Potius mori quam feodari, "Plutôt la mort que la souillure". L'écusson du commando est inspiré des armoiries de la famille de Montfort.
Depuis 1992, le commando a participé à toutes les opérations majeures conduites par le Commandement des opérations spéciales. Les hommes du commando de Montfort font partie des troupes d'élite de l'armée française2. Basé à Lorient, le commando de Montfort est spécifiquement formé, instruit et entraîné pour mener un éventail de missions particulières, allant des « opérations spéciales » dans le cadre d’un conflit classique à celles relevant de la guerre non conventionnelle. Depuis sa création, l’unité s’est forgée un prestigieux passé opérationnel et s’est illustrée sur de nombreux théâtres d’opérations, notamment en Extrême-Orient, en Afrique du Nord, au Liban et plus récemment, en Afghanistan. Le Commando de Montfort constitue un maillon essentiel dans l’opérationnalité des unités de Commandos Marine.
Commando de Penfentenyo (reconnaissance)
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Le commando de Penfentenyo est l'un des sept commandos marine de la Marine nationale française1.
Héritier direct du 1er bataillon de fusiliers marins commandos qui s'était constitué durant la Seconde Guerre mondiale en Grande-Bretagne, ce commando porte le nom de l'enseigne de vaisseau Alain de Penfentenyo de Kervéréguin, blessé mortellement le 12 février 1946, lors d’une opération de nettoyage d’îlots de
résistance vietminh sur le fleuve Dong Nai, en Indochine française2.
En 1992, le commando a été rattaché au Commandement des opérations spéciales.
Le Commando de Penfentenyo est basé à Lorient. Il est spécialisé dans la reconnaissance de sites et d'installations maritimes et dans le renseignement tactique en vue de la préparation d'une opération (groupe palmeurs, collecte de l'information, infiltration et exfiltration de personnel, aérolargage à la mer sans recueil (Tarpon), appuis divers).
Commando Trépel (assaut et contre-terrorisme)
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Le commando Trépel est un des sept commandos marine de la Marine nationale française.
Basé à Lorient, le commando est spécialisé dans le contre-terrorisme terrestre et maritime, l'assaut à la mer, la libération d'otages et l’extraction de ressortissants.
Il est rattaché au commandement des opérations spéciales depuis 1992.
Héritier direct du 1er bataillon de fusiliers marins commandos qui s'était constitué durant la seconde Guerre mondiale en Grande-Bretagne, il porte le nom du capitaine de corvette Charles Trépel qui Futures, avec Philippe Kieffer, l'un des créateurs des commandos français et qui disparaît lors d'un raid de sondage, au nom de code Premium1, sur les côtes néerlandaises, à Wassenaar, dans la nuit du 27 au 28 février 1944. L'Amiral Christophe Prazuck, chef d'état-major de la Marine, déclare sous l'Arc de triomphe le 28 février 2020 lors de la cérémonie de commémoration de sa mort et de ses cinq compagnons qu' "on raconte qu'il Futures le seul homme à avoir réussi trois fois le stage commando à Achanacarry"2.
Il comprend en son sein un groupe CTLO (Contre-terrorisme et libération d’otages), comme le commando Jaubert.
Commando Jaubert (assaut et contre-terrorisme)
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Le commando Jaubert est un des sept commandos marine de la Marine nationale française.
Il est l'héritier direct de la compagnie Merlet, compagnie de reconnaissance constituée de marins volontaires en décembre 1944 pour aller combattre les Japonais. La compagnie Merlet participera à la campagne d'Italie avant de rejoindre Arcachon pour partir combattre en Indochine au sein de la Brigade Marine d’Extrême Orient à compter d'octobre 1945. Elle prend le nom de Compagnie Jaubert en mémoire du capitaine de frégate François Jaubert (officier Fusilier Marin blessé mortellement le 25 janvier 1946 devant Tan Huyen, en Indochine française) puis elle deviendra le 1er janvier 1948 la première unité commando de la Marine nationale sous le nom de commando Jaubert. Il est considéré comme la matrice des commandos Marine.
Le commando Jaubert est un corps militaire. Son chef de corps est un officier supérieur. Il est sous le commandement organique de l'amiral commandant la FORFUSCO. Il fait partie des unités employées par le Commandement des opérations spéciales depuis 1992.
Basé à Lorient, le commando est spécialisé dans l'action spéciale offensive en milieu terrestre ou maritime, le contre terrorisme et la libération d'otages.
Il comprend notamment un groupe CTLO (Contre-terrorisme et libération d’otages), comme le commando Trepel et le commando Hubert.
Titulaire de huit citations, dont trois par filiation, son fanion porte la croix de guerre 1939-1945 avec une étoile de bronze, la croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs avec six palmes et la croix de la valeur militaire avec une palme. Il porte également les fourragères à la couleur du ruban de la Légion d'honneur, aux couleurs du ruban de la Médaille militaire et aux couleurs du ruban de la croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs. C'est l'unité élémentaire (équivalent compagnie) la plus décorée de France.
Les six autres commandos Marine sont héritiers de ses traditions. Ils ont le droit au port de la fourragère à la couleur du ruban de la Légion d’honneur avec une olive aux couleurs du ruban de la médaille militaire-croix de guerre 1939-1945 et une olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre TOE.
Commando Hubert (action sous-marine et contre-terrorisme)
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Le commando Hubert est l'un des sept commandos marine de la Marine nationale française.
L'insigne de l'unité est orné d'une ancre de marine, d'un poignard et d'un aigle, symboles traditionnels des commandos. Elle rappelle la dimension parfaitement polyvalente du commando Hubert dont les opérateurs sont des spécialistes des trois milieux (terre, air et mer), en étant à la fois nageurs de combat et chuteurs opérationnels.
Héritier direct du 1er bataillon de fusiliers marins commandos qui s'était constitué durant la Seconde Guerre mondiale en Grande-Bretagne, il porte le nom du lieutenant de vaisseau Augustin Hubert, tué au combat le 6 juin 1944 à Ouistreham, et qui repose au cimetière militaire britannique d'Hermanville-sur-Mer.
Le commando Hubert est basé à Saint-Mandrier-sur-Mer dans le Var. Il est spécialisé dans l'action sous-marine et dans les actions de contre-terrorisme maritime et est constitué de nageurs de combat.
Créé en décembre 1947, il devient, en 1953, une unité de nageurs de combat et prend le nom de CASM (commando d'action sous-marine) Hubert1. Il est la seule unité de nageurs de combat2 de l'Armée française et forme également des nageurs pour d'autres unités militaires ou services de l’État, comme les candidats au service Action de la DGSE (issus de l'Armée de terre).
Cette unité d'élite est l'homologue de la SEAL Team 6 américaine et du Special Boat Service britanniques, elle est spécialisée dans le contre-terrorisme, la libération d'otages et les interventions sous-marines.
Pour envisager d'intégrer ce commando, il faut réussir un test dans l'une des six unités de commandos de la Marine . Après au moins deux ans au sein d’un de ces commandos, tous basés en Bretagne, les plus motivés tentent d’obtenir le brevet Nageurs de combat , que seuls possèdent les membres du commando Hubert. Chaque année, 10% des prétendants au commando parviennent à passer les différents tests, en effet le test mental a pour but de vous mettre à un niveau de stress poussé, ce dernier étant considéré aussi dur que le test physique.
« Il faut rester des heures sous l’eau, à respirer de l’oxygène pur. Ils utilisent des tracteurs sous-marins, des mini-sous-marins ou simplement leurs palmes. Il faut être capable de s’approcher d’un objectif à la palme, puis de repartir en sens inverse. Avec systèmes de respiration qui n’émettent pas de bulles en surface, pour rester indétectable.3 »
— Paul Henri Desgrees du Lou, président de l’Amicale des fusiliers marins et commandos
Le salaire moyen est de 1 635 euros par mois et de 3 775 euros par mois en opération4.
La présélection pour envisager de passer les tests visant à intégrer ce commando est composée de tests psychotechniques, de tests de raisonnement sur des problèmes de plongée et de sécurité, d'exercices de plongée à l'air, des tests de synthèse avec de la plongée de nuit sous coque et une description des techniques avec oxygène, des test physique en piscine, à la course à pied et des tests de motivation. C'est après avoir effectué ces différents tests qu'il est envisageable de participer à la formation des commandos Hubert pour pouvoir y être intégré.
Leur formation :
La formation de ces commandos, appelée « Cours de Nageurs de Combat » (CNC) a une durée de 27 semaines et se déroule autour de trois phases principales :
elle débute par une initiation à la plongée avec oxygène pur durant 11 semaines. Le premier mois est consacré aux techniques de base de la plongée avec oxygène, une semaine est consacrée à la démolition terrestre, trois semaines sont consacrées aux exercices d'immersion discrète et aux bases du travail en binôme. Les trois semaines restantes sont consacrées à la navigation sous-marine.
la deuxième phase de la formation, d'une durée de 11 semaines, a pour but de préparer les nageurs à une attaque. Durant les 6 premières semaines, ils apprennent les techniques nécessaires à l'approche sous-marine, la pose d'une charge explosive et l'exfiltration. Arrivent ensuite deux semaines d'épreuves basées sur les connaissances acquises durant les premières 6 semaines. Les 3 dernières semaines sont composées d'un exercice de synthèse se déroulant dans l'Atlantique non-loin de Brest.
la dernière phase de cette formation, d'une durée de 5 semaines, est consacrée à la démolition sous-marine, au déblaiement d'un chenal d'assaut et au parachutage en mer avec oxygène. Ils effectueront également une série de plongées en profondeur et des exercices de travaux sous-marins. Les élèves ayant réussi les examens obtiennent le brevet de nageur de combats et sont ainsi affectés au commando Hubert ou à la section nautique, en fonction de leur choix de candidature.
Organisation :
Nageurs de combat du commando Hubert de la Marine nationale.
Fort de 100 hommes, tous chuteurs opérationnels, le commando Hubert est placé sous le commandement d'un capitaine de corvette. Il est articulé en 2 compagnies7. Chacun de ses membres sont des militaires entrainés à toutes les formes de combat.
« En plus de leurs capacités d’action sous-marines, les membres de ce commando doivent savoir se camoufler, manier l’explosif, naviguer sans problème. A ça s’ajoute la spécialité du parachutage, du maniement d’armes. C’est une structure élitiste à l'extrême, les missions auxquelles ils sont confrontés dérouteraient 98% des soldats. »
— Pascal Le Pautremat
La 1re compagnie est composée d'une cinquantaine de nageurs et se divise en quatre sections ou escouades :
La section A, cellule de commandement et de contrôle, s'occupe du soutien opérationnel de la compagnie et aligne les équipages des embarcations semi-rigides (15 membres environ) ;
La section B a pour mission le contre-terrorisme et la libération d'otages (CTLO) en milieu maritime et terrestre. Escouade ayant une capacité à opérer sous l'eau, elle constitue l'équivalent du « groupe de combat en milieu clos » (GCMC) de Lorient. Elle travaille en étroite collaboration avec le GIGN ;
La section C se compose des équipages de PSM (Propulseurs sous-marins). Elle a pour mission d'amener à partir d'un bâtiment de surface ou d'un sous-marin les équipes de nageurs de combat devant l'objectif ;
La section D est chargée de la reconnaissance et de l'appui. Ils ont pour mission les reconnaissances sous-marines de chenal et de plage.
La 2e compagnie sert d'unité d'appui et travaille comme une base arrière. Composée de trente personnes dont la plus grande partie ne sont pas brevetées nageurs, elle est organisée en plusieurs « divisions » :
transmissions ;
énergie/propulsion ;
commissariat ;
entretien ;
conduite des navires.
Insigne de béret appui opérationnel commando (pour les membres des commandos marines n'ayant pas passé le STAC (stage commando) mais malgré tout employé en leurs seins en raison de leurs compétences, en particulier dans les commandos d'appui comme Kieffer et Ponchardier).
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Commando Kieffer (commandement et appui opérationnel, techniques de pointe)
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Le commando Kieffer est le sixième commando marine (FORFUSCO) créé au sein de la Marine nationale, en 2008 ; il appartient aux forces spéciales. Il porte le nom du capitaine de corvette Kieffer, qui, pendant la Seconde Guerre mondiale, a formé et dirigé le 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos, 177 commandos marine de la France libre qui ont participé au débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944.
Rôle :
À sa formation en 2008, le commando Kieffer comportait moins de 30 hommes, en 2014 l'effectif supposé est de 70 hommes. Le commando Kieffer aurait deux rôles : celui d'assurer le commandement pour les opérations spéciales maritimes (structure de SOTG déployable) et de fournir des compétences technologiques ou à forte valeur ajoutée. Pour cela il dispose de Sections d'Appuis Spécialisés comprenant notamment des maîtres-chiens pour la recherche d’explosifs improvisés ou la cynotechnie offensive, des spécialistes du renseignement humain, d'experts dans la mise en œuvre de drones, de la guerre électronique et cyber, du déminage ou du combat en environnement NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique)2. Il est basé à Lorient1. À la différence des autres unités, le commando Kieffer recrute et sélectionne certains de ces spécialistes dans la Marine Nationale ou dans les armées puis les forme pour en faire des opérateurs « Forces Spéciales ».
Commando Ponchardier (soutien logistique et appui aux opérations spéciales).
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Le commando Ponchardier est une unité de l'Armée française constituée par l'amiral Henri Nomy à la fin de la Seconde Guerre mondiale sur le modèle des SAS britanniques. Le bataillon, initialement destiné à intervenir en Indochine au sein du CLI (5e RIC) contre les Japonais, est engagé contre le Viet-Minh dans la région de Saigon de fin 1945 à mi-1946.
Le commando est recréé par décision du ministre de la Défense le 11 septembre 2015 après sa dissolution en 1946. Il porte le nom de l'amiral Pierre Ponchardier, son chef de corps lors de sa création initiale.
personnes célèbres ayant été commando marine :
Éric Tabarly
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En 1952, Éric Tabarly s'engage dans la Marine nationale. Il est admis à Saint-Mandrier-sur-Mer comme pilote dans l'aéronautique navale et vole sur Stampe SV-4 pour ses débuts (à la base de Khouribga au Maroc). Il effectue ensuite sa spécialisation multimoteurs à Agadir sur Beechcraft SNB/JRB et Avro Lancaster. Il sert ensuite à la BAN Tan-Son-Nhut en Indochine française dans la flottille 28F qui met en œuvre des PB4Y Privateer de patrouille maritime. Il effectue environ 1 000 heures de vol, en particulier au cours de la guerre d'Indochine. Après avoir suivi le CPEOM (cours préparatoire des élèves officiers de marine), il est admis en 1958, à sa deuxième tentative, à l'École des élèves officiers de marine (EOM), dont la scolarité se confond avec celle de l'École navale et où il se distingue entre autres par ses capacités sportives.
En 1964, encore auréolé de sa victoire dans la transat en solitaire, Éric Tabarly entre comme élève au cours d'officier fusilier (Commando marine) à l'École des fusiliers marins de Lorient. Il détiendra pendant de nombreuses années les chronos records des différents parcours et marches commandos.
geoffroy roux de bézieux président du MEDEF ici au milieu
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Geoffroy Roux de Bézieux fait son service militaire au sein des commandos marine entre 1984 et 1986
demain, suite et fin sur les commandos parce que là ça fait un gros pavé