OK Worp, mais ma question était comment savoir qu'il fallait rentrer sur la 3e cassure de la MM et non la 1ere ni la 2e.
Nova j'ai pas trouvé tu m'as perdu là lol
Il y en aura d'autres mais en tous cas merci.
Il y en aura d'autres mais en tous cas merci.
Regarde Reef, tu en verras plusieurs par jour. De quoi faire de bonnes journées.
C'est mon 2e setup.
C'est mon 2e setup.
On a touché 11500 en future ou pas, j'attends peut etre quelque chose qui n'arrivera jamais
Sur futur il y a 70 points en plus Cult ^^
1ere cassure j'ai 2 boites a 5 pts : c'est un pull back Nova
Nova merci beaucoup poir ton aide
70 plus bas du coup? merci pour l'info
Non Reef surtout pas le 21 tcks sur nq et jamais de la vie même lol
200 ou 300 ticks en HH le fait
et encore comme tu débutes, tu peux monter a 500 pour t'éviter trop de bruit et de faux signaux
Mais il faut aussi que tu aies sous les yeux un graph en 1 ou 2 min selon ta préférence et aussi en 5 et 15 min
y a + qu'a trader maintenant go go go
200 ou 300 ticks en HH le fait
et encore comme tu débutes, tu peux monter a 500 pour t'éviter trop de bruit et de faux signaux
Mais il faut aussi que tu aies sous les yeux un graph en 1 ou 2 min selon ta préférence et aussi en 5 et 15 min
y a + qu'a trader maintenant go go go
Je veux pas m'enflammer mais je crois que je tiens un ptit truc...
T'es à 5 points, mon graphe est à 2 points.
OK Worp, tu y vas donc sur la 3e boite ?
OK Worp, tu y vas donc sur la 3e boite ?
Dark ok, de toutes façons je vais tester. Merci beaucoup
Re-bonjour à tous.
Difficile de garder un short avec tous les retour sur stop (sous les 11600)
Logiquement il doit aller au bas J
Difficile de garder un short avec tous les retour sur stop (sous les 11600)
Logiquement il doit aller au bas J
Reef, je fais comme darkvadort , j'ai un graphe en Bougie 1 minute et un en 50 ticks Heikin Ashi.
Reef, regarde aussi les graphiques que poste Phil
oui 5 points Nova . En 2 points c'est moins parlant....
Les armes nucléaires russes peuvent être utilisées pour défendre les régions ukrainiennes annexées, prévient le Kremlin
PAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 SEPT. 2022 - 09:45
Une fois de plus, Dmitri Medvedev, le vice-président du Conseil de sécurité russe, a joué le rôle d'avertissements et de menaces plus sévères "lisez entre les lignes" tout juste sortis du discours de mercredi du président Vladimir Poutine annonçant la mobilisation partielle des forces nationales et qui a confirmé les référendums des parties occupées. de l'Ukraine à rejoindre la Fédération de Russie.
La phrase la plus alarmante de Poutine est venue lorsqu'il a déclaré : « Si l'intégrité territoriale de notre pays est menacée, nous utiliserons certainement tous les moyens à notre disposition pour protéger la Russie et notre peuple », suivi de « Ce n'est pas un bluff ». Il avait également souligné que Moscou était prête à utiliser "tous les moyens disponibles" pour protéger son "intégrité territoriale".
Medvedev a poussé plus loin les propos du président dans des déclarations de jeudi, soulignant qu'en ce qui concerne le territoire saisi par la Russie et la décision de voter dans plusieurs régions - y compris les régions de la LPR, de la RPD, de Kherson et de Zaporozhye - "il n'y a pas de retour en arrière" et que même un ' l'option nucléaire » pourrait être sur la table.
"Les républiques du Donbass [Donetsk et Louhansk] et d'autres territoires seront acceptés en Russie", a-t-il posté à Telegram. C'est alors que l'ancien président et haut responsable de la sécurité nationale a doublé l'avertissement nucléaire de Poutine, déclarant :
La Russie a annoncé que non seulement les capacités de mobilisation, mais aussi toutes les armes russes, y compris les armes nucléaires stratégiques et les armes basées sur de nouveaux principes, pourraient être utilisées pour une telle protection .
Les déclarations de Poutine et Medvedev marquent la première fois que de hauts responsables russes ont affirmé leur volonté de soumettre les territoires russes nouvellement acquis à la doctrine nucléaire de Moscou.
Cependant, il reste que les forces russes ne contrôlent pas encore 100% des quatre principaux territoires où les votes d'annexion doivent avoir lieu - certains référendums étant prévus dès ce week-end selon des rapports antérieurs.
Pour passer en revue les dernières 48 heures de prise de décision du Kremlin qui sont sur le point d'aggraver encore cette guerre, voici le cours logique de ce qui vient d'être décrété lors de l'appel de quelque 300 000 réservistes :
On avait déjà dit aux conscrits qu'ils ne seraient pas envoyés en Ukraine pour combattre parce qu'ils sont stationnés/défendus à l'intérieur de la Russie
Les territoires sous contrôle ukrainien sont sur le point de voter pour rejoindre la Fédération de Russie.
Lorsque ces territoires rejoignent la Russie, ils se trouvent « à l'intérieur de la Russie ». Ce sont des oblasts russes et les tentatives de défense (anciennement) du territoire ukrainien marqueraient alors une invasion du territoire russe appuyée par des équipements de l'OTAN.
Ainsi, l'avertissement de Medvedev sur la «volonté» d'utiliser des armes nucléaires couvre ces territoires à l'intérieur de l'Ukraine.
L'accent mis par Poutine sur ce point n'est "pas un bluff", nonobstant, certains analystes disent qu'il s'agit d'une posture visant à effrayer l'OTAN loin de l'escalade ...
"Je pense que cela signale qu'il veut que les gens pensent qu'il risquerait une guerre nucléaire", a déclaré Phillips O'Brien, professeur d'études stratégiques à l'Université de St. Andrews en Écosse. "Je ne pense pas que cela signifie qu'il est plus susceptible de le faire qu'il ne l'était hier."
"S'il dit que toute attaque sur le sol qu'il appelle la Russie sera un déclencheur nucléaire, l'Ukraine l'a déjà brisé en Crimée", a ajouté O'Brien dans des commentaires donnés à NBC. Pourtant, Washington dit qu'il prend cette rhétorique nucléaire au sérieux.
Quant à la Maison Blanche, le président Biden, dans son discours de mercredi à l'Assemblée générale des Nations Unies à New York , a dénoncé les menaces nucléaires « manifestes, téméraires et irresponsables » de Poutine , avertissant que de telles guerres ne devraient « jamais être menées » et que les actions de la Russie devraient rendre « le sang de tout le monde ». avoir froid ». Il a renouvelé son avertissement "une guerre nucléaire ne peut pas être gagnée" - affirmant que les États-Unis "ne cherchent pas une guerre froide".
PAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 SEPT. 2022 - 09:45
Une fois de plus, Dmitri Medvedev, le vice-président du Conseil de sécurité russe, a joué le rôle d'avertissements et de menaces plus sévères "lisez entre les lignes" tout juste sortis du discours de mercredi du président Vladimir Poutine annonçant la mobilisation partielle des forces nationales et qui a confirmé les référendums des parties occupées. de l'Ukraine à rejoindre la Fédération de Russie.
La phrase la plus alarmante de Poutine est venue lorsqu'il a déclaré : « Si l'intégrité territoriale de notre pays est menacée, nous utiliserons certainement tous les moyens à notre disposition pour protéger la Russie et notre peuple », suivi de « Ce n'est pas un bluff ». Il avait également souligné que Moscou était prête à utiliser "tous les moyens disponibles" pour protéger son "intégrité territoriale".
Medvedev a poussé plus loin les propos du président dans des déclarations de jeudi, soulignant qu'en ce qui concerne le territoire saisi par la Russie et la décision de voter dans plusieurs régions - y compris les régions de la LPR, de la RPD, de Kherson et de Zaporozhye - "il n'y a pas de retour en arrière" et que même un ' l'option nucléaire » pourrait être sur la table.
"Les républiques du Donbass [Donetsk et Louhansk] et d'autres territoires seront acceptés en Russie", a-t-il posté à Telegram. C'est alors que l'ancien président et haut responsable de la sécurité nationale a doublé l'avertissement nucléaire de Poutine, déclarant :
La Russie a annoncé que non seulement les capacités de mobilisation, mais aussi toutes les armes russes, y compris les armes nucléaires stratégiques et les armes basées sur de nouveaux principes, pourraient être utilisées pour une telle protection .
Les déclarations de Poutine et Medvedev marquent la première fois que de hauts responsables russes ont affirmé leur volonté de soumettre les territoires russes nouvellement acquis à la doctrine nucléaire de Moscou.
Cependant, il reste que les forces russes ne contrôlent pas encore 100% des quatre principaux territoires où les votes d'annexion doivent avoir lieu - certains référendums étant prévus dès ce week-end selon des rapports antérieurs.
Pour passer en revue les dernières 48 heures de prise de décision du Kremlin qui sont sur le point d'aggraver encore cette guerre, voici le cours logique de ce qui vient d'être décrété lors de l'appel de quelque 300 000 réservistes :
On avait déjà dit aux conscrits qu'ils ne seraient pas envoyés en Ukraine pour combattre parce qu'ils sont stationnés/défendus à l'intérieur de la Russie
Les territoires sous contrôle ukrainien sont sur le point de voter pour rejoindre la Fédération de Russie.
Lorsque ces territoires rejoignent la Russie, ils se trouvent « à l'intérieur de la Russie ». Ce sont des oblasts russes et les tentatives de défense (anciennement) du territoire ukrainien marqueraient alors une invasion du territoire russe appuyée par des équipements de l'OTAN.
Ainsi, l'avertissement de Medvedev sur la «volonté» d'utiliser des armes nucléaires couvre ces territoires à l'intérieur de l'Ukraine.
L'accent mis par Poutine sur ce point n'est "pas un bluff", nonobstant, certains analystes disent qu'il s'agit d'une posture visant à effrayer l'OTAN loin de l'escalade ...
"Je pense que cela signale qu'il veut que les gens pensent qu'il risquerait une guerre nucléaire", a déclaré Phillips O'Brien, professeur d'études stratégiques à l'Université de St. Andrews en Écosse. "Je ne pense pas que cela signifie qu'il est plus susceptible de le faire qu'il ne l'était hier."
"S'il dit que toute attaque sur le sol qu'il appelle la Russie sera un déclencheur nucléaire, l'Ukraine l'a déjà brisé en Crimée", a ajouté O'Brien dans des commentaires donnés à NBC. Pourtant, Washington dit qu'il prend cette rhétorique nucléaire au sérieux.
Quant à la Maison Blanche, le président Biden, dans son discours de mercredi à l'Assemblée générale des Nations Unies à New York , a dénoncé les menaces nucléaires « manifestes, téméraires et irresponsables » de Poutine , avertissant que de telles guerres ne devraient « jamais être menées » et que les actions de la Russie devraient rendre « le sang de tout le monde ». avoir froid ». Il a renouvelé son avertissement "une guerre nucléaire ne peut pas être gagnée" - affirmant que les États-Unis "ne cherchent pas une guerre froide".
Les 11500 et 30000 ont été percés pendant la nuit sur le cash
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