autre version tout aussi crédible (même plus en psycha

)
qui affecterait la qualité du jugement de personnes qui ne jouissent (par exemple) d'une situation favorables.
Cela pourrait engendrer un déni des efforts d'autrui pour s'élever et favoriser la passivité du sujet à rester dans une position de victimisation confortable en évitant les miroirs peu flatteurs.
Ne pas oublier qu'il y a la jouissance du symptôme :musique: et qu'il est plus facile d'être une "victime" c'est mieux "valorisé" en France et mieux accepté.
C'est justement le problème, je suis une victime, c'est la faute des autres, de l'Etat donc je ne fais rien, je râle, je deviens aigri et j'attends de l'Autre (le Grand Autre, l'Etat, les Profs etc) qu'ils trouvent une solution à ma place.
On appelle cela le biais de la victime (ou la passivité narcissique). Je suis le centre du monde et les autres doivent trouver des solutions à ma place. Le grand bébé en fait.
Très bien analysé par des centaines de psycho, psycha... Toujours le problème de l'enfant Roi devenu adulte frustré.
Heureusement que fils d’ouvrier pauvre je n'ai pas raisonné comme cela, je le serai toujours pauvre et jamais je n'aurai fait d'études
