Oui, j'admets selon le raisonnement à l'encontre de l'homme de la rue, mais concernant les représentants du peuple et le peuple jugeant leurs actions et non leur Etre, les représentants doivent des compte au peuple au titre de leurs actions, ce qui n'est pas tout à fait la même choses. Mais je n'entrerais que rapidement dans un positionnement philosophique et politique sur ce qu'induisent des paroles politiques et économiques de dirigeants qui par conséquent sont forcément exposés au jugement populaire : on ne peut dissocier l'individu de sa représentation publique, sur le thème précis de sa représentation publique, pour une simple raison : le représentant public se targue toujours d'agir par conviction et non par
obligation contre sa pensée : l'action d'un individu Est donc son Etre. J'en ai fini avec la minute philo (c'est mon autre dada avec le trading).
Je réitère donc : je suis désolé si la sensibilité de certains à été choquée et m'excuse platement envers madame Lagarde.