Je crois que c'est propre au consulting : les clients payent cher donc le moindre point positif dans ton travail est exagéré afin qu'ils justifient notre coût.
Ou alors on a des bonnes têtes je ne sais pas
C'est quoi que t'appelles des "supports non risqués" ?Bernardino a écrit :Bon, je n'ai pas fait réagir, alors j'insiste : Il y a bien longtemps, l'un de mes clients aujourd'hui décédé et qui a gagné beaucoup (mais alors vraiment beaucoup) de sous en trading tout en réussissant à rester très discret, m'a donné un seul conseil quand je lui ai indiqué vouloir faire du trading.
Le conseil en question : Il est très important de sortir régulièrement une partie de ses gains et de les placer sur des supports non risqués. C'est ce qui permet d'assurer sa survie dans un métier dangereux, et c'est ce qui permet de repartir avec un capital en cas de désastre industriel.
Par deux fois, je n'ai pas, ou presque pas, suivi son conseil, et j'ai tout perdu.
Maintenant, je fais comme il avait suggéré, en diversifiant les sources de rente.
Vous faites comme vous voulez...
Oh oui, dur. Mon job ne me laisse guère l'occasion de jeter un oeil aux graphes et encore moins d'y passer des ordres, car ce serait uniquement sur l'Iphone et pour moi, je m'en sens incapable.- a écrit :Mais pour l'absence de pas mal, je pense que c'est lié au fait que c'est très dur de gérer trading et boulot en même temps.
Je faisais référence à ce message là, à propos du trading ou de la rente :"Donc pour ce qui me concerne, 50% de ce je gagne en trading (après impôts) part en investissements générateurs de rente (immobilier locatif, de bureaux, parts de centres commerciaux, fond de portefeuille avec valeur de rendement style Rallye ou Total) et les 50% restants servent à monter mon capital de trading."kero a écrit :C'est quoi que t'appelles des "supports non risqués" ?Bernardino a écrit :Il est très important de sortir régulièrement une partie de ses gains et de les placer sur des supports non risqués. C'est ce qui permet d'assurer sa survie dans un métier dangereux, et c'est ce qui permet de repartir avec un capital en cas de désastre industriel.
...et ça me va plutôt bien. A voir sur la durée.Oli a écrit :j'essaie de ventiler les gains à 60% pour grossir mon K, et les 40% pour le quotidien. Ces sommes nettes d'impôts of course.
Le capital ne progresse pas vite, je teste quelques temps, je verrai si je m'en satisfait.
j'ai la chance de connaitre précisément à 2 ans prêt mon espérance de vie maximummum, si je la dépasse de toute façon je serai dément et je ne m'en rendrai pas compte l'avantage d'une maladie héréditaire orpheline, si tu vis assez longtemps tu sais comment tu vas finir comme tous tes pères depuis xx générations- a écrit :Le problème de vouloir mourir pauvre avec 0€ sur le compte, c'est qu'il faut bien viser.
Avec les progrès de la science, on risque de se retrouver pauvre, au moment ou l'espérance de vie en bonne santé fait un bon de 10 ans -> on se retrouve pauvre, vieux et en bonne santé pendant 10 ans
Je pense que l'on peut commencer à sortir une partie de ses gains à partir de 100 000€ de capital. Si tu fais au moins 20 points DAX par jour, et beaucoup sur le forum le font, tu fais plus que doubler ton capital en un an.- a écrit :Bernardino : dans ton schéma on passe tout de suite de la classe 100K de capital à la classe > 1M de capital