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Ce n’est qu’une première étape vers un contrôle
total « à l’issue d’une période de cinq ans » de ce développeur et exploitant français de parcs éoliens et de fermes solaires déjà implanté dans des pays à fort potentiel (Italie, Grèce, Israël, Brésil, Argentine, Inde…).
total veut se repositionner sur toute la chaîne des renouvelables », depuis la fabrication des panneaux photovoltaïques en amont avec SunPower jusqu’à la production d’électricité en aval avec EREN RE
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« L’électricité est l’énergie de l’avenir », reconnaît M. Pouyanné, notamment produite à partir du gaz (moins émetteur de CO2 que le charbon), dont
total est un grand producteur mondial. Il réaffirme que son groupe a « intégré l’enjeu climat dans sa stratégie et mène une politique de croissance soutenue dans les business bas carbone ».
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En 2016, il avait acquis le fabricant de batteries industrielles Saft, puis le fournisseur belge d’électricité Lampiris. Il vend désormais de l’électricité aux clients particuliers, comme
edf et Engie. Des quatre autres grandes majors internationales (ExxonMobil, Royal Dutch Shell, BP et
chevron), c’est
total qui affiche pour l’heure la plus grande ambition dans les énergies renouvelables.
Mais il n’est pas seul : le norvégien Statoil investit dans l’éolien en mer, et l’italien ENI a annoncé 1 milliard d’euros d’investissement dans les projets solaires. Quant aux dirigeants de Royal Dutch Shell, qui ont récemment créé une division chargée des énergies renouvelables, ils prévoient d’y investir 1 milliard de dollars par an d’ici à 2020
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