Matières premières
Sur un an, les hausses vont de 4% pour l'or, clairement le parent pauvre sur ce pas de temps, à 347% pour le bois de construction. Le pétrole et le maïs ont plus que doublé. Le cuivre n'en est pas loin. Le coton et le sucre ont pris 60% et le blé 50%. Avec de tels chiffres, pas étonnant que le doute s'installe sur la trajectoire de l'inflation, même si les banques centrales restent impavides pour l'instant.