La France à le matos pour détecter le lancement, calculer la trajectoire, et éventuellement riposter. Les MIRV se séparent du porteur très tôt, bien bien bien avant d'arriver à portée de nos missiles anti missile (que nous n'avons pas)
Une fois la séparation opérée, ce n'est pas 1 mais 6-8 ou 10 objets à intercepter...