Je trouve que le trading sur le pétrole est extrêmement risqué. Il y a même plus d'imprévisibilité que l'indice CAC40. En plus il y a des swaps non négligeables son garde sa position pendant plusieurs jours avec le risque de plus perdre. Il est vrai, que c'est là où on peut gagner en peu de temps, mais on peut perdre en peu de temps. On peut mettre un stop loss assez proche du point d'entrée mais le risque c'est que ça fluctue pas mal et que cela tape vite le stop loss. Déjà avec un effet levier de 30, on peut perdre beaucoup d'où le fait d'un levier de 3 peut sembler déjà bien. Le contexte géopolitique est très instable en ce moment.
L'or semble être moins risqué et augmente plus dans le temps. Un ETF or est mieux (sauf pour ceux qui connaissent très bien le marché du pétrole et son à l’affût des dernières nouvelles, surtout les professionnels).
je me suis endormi avant la fin de la vidéo.
mais on voit tout de même une exploitation française dans les Landes. c'est intéressant.
50 M° de bénéfices nets l'an dernier. 13 millions à chaque changement de "tubes de forage".
3km de profondeur.
boite canadienne visiblement.
je ne savais pas qu'il était interdit de chercher du pétrole en France. et qu'en 2040 toute exploitation sera interdite
mais on voit tout de même une exploitation française dans les Landes. c'est intéressant.
50 M° de bénéfices nets l'an dernier. 13 millions à chaque changement de "tubes de forage".
3km de profondeur.
boite canadienne visiblement.
je ne savais pas qu'il était interdit de chercher du pétrole en France. et qu'en 2040 toute exploitation sera interdite
Bonsoir,
Le pétrole a bien baissé ce que est une bonne nouvelle pour l'inflation (à tendance à la ralentir bien que beaucoup de paramètres influencent sur celle-ci). Et cela, malgré le contexte géopolitique tendu en Ukraine et Israël.
On note qu'il existe deux types de pétroles (au moins) avec une différence notable de 5 dollars entre le Brent et wti (78.2$ vs 73.2$). À voir si la baisse sera durable ou non (je ne pense pas). Le Brent est plus bitumineux si je ne me trompe pas et le wti plus léger (plus se kérosène?).
Sinon quand on trade le pétrole, si jamais un jour il est négatif (ce qui s'est produit pendant le covid), on peur donc acheter en se faisant de l'argent (incroyable) et revendre avec de substantiels bénéfices?
Le pétrole a bien baissé ce que est une bonne nouvelle pour l'inflation (à tendance à la ralentir bien que beaucoup de paramètres influencent sur celle-ci). Et cela, malgré le contexte géopolitique tendu en Ukraine et Israël.
On note qu'il existe deux types de pétroles (au moins) avec une différence notable de 5 dollars entre le Brent et wti (78.2$ vs 73.2$). À voir si la baisse sera durable ou non (je ne pense pas). Le Brent est plus bitumineux si je ne me trompe pas et le wti plus léger (plus se kérosène?).
Sinon quand on trade le pétrole, si jamais un jour il est négatif (ce qui s'est produit pendant le covid), on peur donc acheter en se faisant de l'argent (incroyable) et revendre avec de substantiels bénéfices?
c'est un peu plus compliqué que cela. il y a plein de types de pétrole. mais il y a deux gros standards sur les bourses qui servent de points de référence aux autres.
les 2 cités sont légers. le wti encore plus.
idéal pour l'essence mais pas pour le diesel. bien que le Brent s'y prête.
c'est pour cela que les étasuniens doivent acheter du bitumineux canadiens ou du pétrole lourd du Venezuela pour leurs camions.
en Europe la Russie et les gisements de la Mer du Nord étaient bien pour le diesel.
pour ça que Peugeot et renault sont devenus leaders des voitures diesels et qu'on fait marche arrière avec l'épuisement des gisements en question.
pendant le covid des supertankers voyageaient sur les mers sans trouver d'acheteurs. il y a eu de la vente à perte car ça coûte de laisser des navires en mer (fuel, equipage, assurances...). de plus le pétrole périme vite.
pour ce qui est de la spéculation pure je ne sais pas trop comment ça s'est passé à cette période.
si tu vendais à 20 le baril et qu'il tombait à -20 est ce que tu gagnais 40 ?
je ne sais pas.
les 2 cités sont légers. le wti encore plus.
idéal pour l'essence mais pas pour le diesel. bien que le Brent s'y prête.
c'est pour cela que les étasuniens doivent acheter du bitumineux canadiens ou du pétrole lourd du Venezuela pour leurs camions.
en Europe la Russie et les gisements de la Mer du Nord étaient bien pour le diesel.
pour ça que Peugeot et renault sont devenus leaders des voitures diesels et qu'on fait marche arrière avec l'épuisement des gisements en question.
pendant le covid des supertankers voyageaient sur les mers sans trouver d'acheteurs. il y a eu de la vente à perte car ça coûte de laisser des navires en mer (fuel, equipage, assurances...). de plus le pétrole périme vite.
pour ce qui est de la spéculation pure je ne sais pas trop comment ça s'est passé à cette période.
si tu vendais à 20 le baril et qu'il tombait à -20 est ce que tu gagnais 40 ?
je ne sais pas.
'''La qualité est effectivement importante pour le pétrole. On parle d’ailleurs de pétrole alors qu’il serait plus juste de parler des pétroles car il y a une grande diversité de qualités de pétrole brut dans le monde entre différents pays producteurs et au sein d’un même pays. De façon générale, les pétroles qui sont au sommet de la hiérarchie en termes de valorisation sur les marchés sont les bruts légers et peu soufrés et ceux qui sont en bas de cette hiérarchie sont les bruts lourds et avec une forte teneur en soufre. Ce sont les deux éléments clés de la cartographie des pétroles bruts dans le monde.
La forte hausse de la production pétrolière des Etats-Unis depuis 2008 s’explique principalement par l’augmentation de la production de pétrole non conventionnel (souvent appelé pétrole de schiste) et ce pétrole est souvent léger et de bonne qualité. Les Etats-Unis se positionnent donc très bien en termes de quantité, puisqu’ils sont devenus tout récemment le premier producteur mondial de pétrole brut devant la Russie et l’Arabie Saoudite, mais aussi de qualité. L’Arabie Saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, est bien placée car sa gamme de bruts est très large : le pays produit des bruts légers, super-légers et extra-légers à côté de bruts moyens et lourds. L’Afrique du Nord, notamment l’Algérie, est une zone productrice de pétroles légers et de bonne qualité, dont le Saharan Blend algérien. Une partie de la production libyenne fait aussi partie de cette catégorie. Il en est de même pour le brut Bonny Light au Nigeria, une partie de la production de l’Angola, certains bruts de la région de la mer Caspienne sans oublier le fameux Brent produit en mer du Nord.
A l’inverse, quels sont les grands producteurs qui peuvent être handicapés par la moindre qualité de leur production pétrolière ?
Le principal pays désavantagé est le Venezuela qui produit des pétroles souvent lourds, voire très lourds et extra-lourds. Pour prendre un exemple au sein de l’OPEP, en décembre 2018, il y avait ainsi un écart de presque dix dollars par baril entre le prix du pétrole Murban des Emirats Arabes Unis et le brut Merey du Venezuela, qui était coté juste en dessous de $50 par baril, contre presque $60/b pour le Murban (moyennes pour le mois de décembre). Un tel écart a un fort impact sur les recettes d’exportation de divers pays producteurs avec un impact économique évident.
Cela dit, la situation est complexe car l’afflux sur le marché mondial de pétrole non conventionnel venu des Etats-Unis a créé une abondance de bruts légers, ce qui a réduit leur avantage de prix par rapport à des bruts lourds. Ceux-ci peuvent donc se trouver favorisés relativement du fait de la loi de l’offre et de la demande. De plus, de nombreux raffineurs ont investi par le passé de fortes sommes pour se doter d’installations permettant de traiter des bruts lourds et ils recherchent donc très logiquement des pétroles de ce type.
La question de la qualité de la production devrait-elle prendre de l’importance au cours des prochaines années, dans la définition des producteurs les plus importants de la planète ?
Le classement quantitatif reste et restera toujours important. Les trois plus grands producteurs mondiaux sont les Etats-Unis, la Russie et l’Arabie Saoudite (plus de 10 millions de barils par jour pour chacun) et ce trio de tête est loin devant les suivants (Canada, Irak, Chine – entre un peu moins de 4 Mb/j et moins de 5 Mb/j pour chacun), ce qui lui donne une importance géopolitique considérable. Cette situation n’est pas près de changer. Mais la qualité doit être prise en compte car elle a un impact significatif sur la valorisation de telle ou telle catégorie de pétrole par rapport à d’autres. Au regard de l’évolution de la production des Etats-Unis, qui continuent de voler de record en record et qui inondent le marché de bruts légers, certains bruts lourds pourront tirer leur épingle du jeu car ils sont recherchés par certaines raffineries du fait de la configuration technique de celles-ci. A l’inverse, le durcissement des normes environnementales favorise les bruts légers et peu soufrés tels que ceux évoqués ci-dessus et il s’agit là d’une tendance lourde. Globalement, l’avantage reste à ceux-ci mais le marché pétrolier doit être analysé de façon très fine pour intégrer comme il se doit ces paramètres qualitatifs'''
La forte hausse de la production pétrolière des Etats-Unis depuis 2008 s’explique principalement par l’augmentation de la production de pétrole non conventionnel (souvent appelé pétrole de schiste) et ce pétrole est souvent léger et de bonne qualité. Les Etats-Unis se positionnent donc très bien en termes de quantité, puisqu’ils sont devenus tout récemment le premier producteur mondial de pétrole brut devant la Russie et l’Arabie Saoudite, mais aussi de qualité. L’Arabie Saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, est bien placée car sa gamme de bruts est très large : le pays produit des bruts légers, super-légers et extra-légers à côté de bruts moyens et lourds. L’Afrique du Nord, notamment l’Algérie, est une zone productrice de pétroles légers et de bonne qualité, dont le Saharan Blend algérien. Une partie de la production libyenne fait aussi partie de cette catégorie. Il en est de même pour le brut Bonny Light au Nigeria, une partie de la production de l’Angola, certains bruts de la région de la mer Caspienne sans oublier le fameux Brent produit en mer du Nord.
A l’inverse, quels sont les grands producteurs qui peuvent être handicapés par la moindre qualité de leur production pétrolière ?
Le principal pays désavantagé est le Venezuela qui produit des pétroles souvent lourds, voire très lourds et extra-lourds. Pour prendre un exemple au sein de l’OPEP, en décembre 2018, il y avait ainsi un écart de presque dix dollars par baril entre le prix du pétrole Murban des Emirats Arabes Unis et le brut Merey du Venezuela, qui était coté juste en dessous de $50 par baril, contre presque $60/b pour le Murban (moyennes pour le mois de décembre). Un tel écart a un fort impact sur les recettes d’exportation de divers pays producteurs avec un impact économique évident.
Cela dit, la situation est complexe car l’afflux sur le marché mondial de pétrole non conventionnel venu des Etats-Unis a créé une abondance de bruts légers, ce qui a réduit leur avantage de prix par rapport à des bruts lourds. Ceux-ci peuvent donc se trouver favorisés relativement du fait de la loi de l’offre et de la demande. De plus, de nombreux raffineurs ont investi par le passé de fortes sommes pour se doter d’installations permettant de traiter des bruts lourds et ils recherchent donc très logiquement des pétroles de ce type.
La question de la qualité de la production devrait-elle prendre de l’importance au cours des prochaines années, dans la définition des producteurs les plus importants de la planète ?
Le classement quantitatif reste et restera toujours important. Les trois plus grands producteurs mondiaux sont les Etats-Unis, la Russie et l’Arabie Saoudite (plus de 10 millions de barils par jour pour chacun) et ce trio de tête est loin devant les suivants (Canada, Irak, Chine – entre un peu moins de 4 Mb/j et moins de 5 Mb/j pour chacun), ce qui lui donne une importance géopolitique considérable. Cette situation n’est pas près de changer. Mais la qualité doit être prise en compte car elle a un impact significatif sur la valorisation de telle ou telle catégorie de pétrole par rapport à d’autres. Au regard de l’évolution de la production des Etats-Unis, qui continuent de voler de record en record et qui inondent le marché de bruts légers, certains bruts lourds pourront tirer leur épingle du jeu car ils sont recherchés par certaines raffineries du fait de la configuration technique de celles-ci. A l’inverse, le durcissement des normes environnementales favorise les bruts légers et peu soufrés tels que ceux évoqués ci-dessus et il s’agit là d’une tendance lourde. Globalement, l’avantage reste à ceux-ci mais le marché pétrolier doit être analysé de façon très fine pour intégrer comme il se doit ces paramètres qualitatifs'''
Merci de ton retour nuts.
Je savais que celui du canada était lourd et qu'on en faisait de l'enrobé
J'ignorais pour le coût du stockage sur les navire mais c'est évident en effet.
Là tu parles de VAD (vendre à 20 et racheter à -20).
Je parlais par exemple de l'achat (sans VAD) comme acheter 100.000 barils à -20€ (reçoit-on e-2.000.000€) si on investit dans les futures pour ensuite pouvoir engranger un nouveau bénéfices en les revendant (la même somme en plus si on les revend 20€ le baril).
Certains pétroles sont jaunes transparents (on s'y attend pas par rapport à l'image que l'on se fait ; un peu comme l'or qui peut être blanc).
Oui en "trichant" avec une nouvelle méthode polluante de fracture hydrolique, les US sont devenus dans les premiers producteurs. Ceci dit cette méthode est très polluante et condamne certaines terres. A voir si les conséquences et la dépollution ne coûtera pas plus cher au final. En France, on pourrait en théorie faire cela en région parisienne voire sur le bordelais.
Cependant, quand le cours du pétrole était plus bas ; cela n'était pas rentable d'exploiter le pétrole de schiste. Ainsi, pour garder la rentabilité, je ne pense pas que les US aient intérêt à faire trop baisser le prix du brent.
Je savais que celui du canada était lourd et qu'on en faisait de l'enrobé
Spoiler:
Là tu parles de VAD (vendre à 20 et racheter à -20).
Je parlais par exemple de l'achat (sans VAD) comme acheter 100.000 barils à -20€ (reçoit-on e-2.000.000€) si on investit dans les futures pour ensuite pouvoir engranger un nouveau bénéfices en les revendant (la même somme en plus si on les revend 20€ le baril).
Certains pétroles sont jaunes transparents (on s'y attend pas par rapport à l'image que l'on se fait ; un peu comme l'or qui peut être blanc).
Oui en "trichant" avec une nouvelle méthode polluante de fracture hydrolique, les US sont devenus dans les premiers producteurs. Ceci dit cette méthode est très polluante et condamne certaines terres. A voir si les conséquences et la dépollution ne coûtera pas plus cher au final. En France, on pourrait en théorie faire cela en région parisienne voire sur le bordelais.
Cependant, quand le cours du pétrole était plus bas ; cela n'était pas rentable d'exploiter le pétrole de schiste. Ainsi, pour garder la rentabilité, je ne pense pas que les US aient intérêt à faire trop baisser le prix du brent.
le bitumineux canadien peut être transformé en essence. cela demande un processus supplémentaire de raffinage (vapocraquage ?) plus coûteux et nécessitant d'autres intrants (additifs, coupe avec autres pétroles...?)
-------------------------
un point sur la COP28 (achevée) censée sauver la planète.
business as usual rien de contraignant.
la ''transition'' vers la sortie des fossiles est réclamée
article plutôt complet en lien :
''Non contraignant, l’accord enrobé de flou et d’ambiguïtés obtenu à Dubaï risque d’être peu incitatif. En témoigne le cours des actions en bourse de TotalÉnergies, qui se portait à merveille au lendemain de la COP28. «Le jour où une décision contraindra effectivement les industriels à laisser 80% des énergies fossiles dans le sol, comme le recommandent les scientifiques, on aura un effondrement immédiat des cotations boursières de Shell, BP, total et consorts. Il semble que le marché, qui évalue ce genre d’actions sur 10 ans, ne s’inquiète pour l’instant pas beaucoup», ironise Maxime Combes''
https://reporterre.net/L-accord-de-la-COP28-n-inquiete-pas-les-compagnies-petrolieres
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un point sur la COP28 (achevée) censée sauver la planète.
business as usual rien de contraignant.
la ''transition'' vers la sortie des fossiles est réclamée
article plutôt complet en lien :
''Non contraignant, l’accord enrobé de flou et d’ambiguïtés obtenu à Dubaï risque d’être peu incitatif. En témoigne le cours des actions en bourse de TotalÉnergies, qui se portait à merveille au lendemain de la COP28. «Le jour où une décision contraindra effectivement les industriels à laisser 80% des énergies fossiles dans le sol, comme le recommandent les scientifiques, on aura un effondrement immédiat des cotations boursières de Shell, BP, total et consorts. Il semble que le marché, qui évalue ce genre d’actions sur 10 ans, ne s’inquiète pour l’instant pas beaucoup», ironise Maxime Combes''
https://reporterre.net/L-accord-de-la-COP28-n-inquiete-pas-les-compagnies-petrolieres
efficace les sanctions onusiennes 
''Or, d'après les calculs de l'agence de presse économique Bloomberg, le pays de Vladimir Poutine a doublé ses revenus pétroliers entre avril et octobre 2023, pour atteindre 11,3 milliards de dollars de bénéfices (près de 10,5 milliards d'euros). «Il s'agit d'un record depuis mai 2022 et d'un niveau supérieur à n'importe quel mois de l'année précédant l'invasion de l'Ukraine», indique le média américain''
https://korii.slate.fr/biz/exportations-petrole-revenus-russie-guerre-ukraine-commerce-brut-flotte-fantome-sanctions-occidentales-prix-plafond-baril
''Or, d'après les calculs de l'agence de presse économique Bloomberg, le pays de Vladimir Poutine a doublé ses revenus pétroliers entre avril et octobre 2023, pour atteindre 11,3 milliards de dollars de bénéfices (près de 10,5 milliards d'euros). «Il s'agit d'un record depuis mai 2022 et d'un niveau supérieur à n'importe quel mois de l'année précédant l'invasion de l'Ukraine», indique le média américain''
https://korii.slate.fr/biz/exportations-petrole-revenus-russie-guerre-ukraine-commerce-brut-flotte-fantome-sanctions-occidentales-prix-plafond-baril
En Russie, ils ont tellement de ressources qu'ils peuvent vivre en autarcie.
Au niveau du Brent, aujourd'hui je pense que l'on est acheteur car la moyenne de ces derniers jours est bien croisée à l'achat ; on a une possibilité de voir le pétrole repartir à la hausse puisqu'on a retracé toute cette période de baisse qu'on a eu fin janvier -tout début février, le marché ne demande qu'à aller plus haut. On devrait casser ce plus haut qui est à 84,20 dollars et s'il clôture au dessus, on devrait encore augmenter pour aller beaucoup plus haut.
Au niveau du Brent, aujourd'hui je pense que l'on est acheteur car la moyenne de ces derniers jours est bien croisée à l'achat ; on a une possibilité de voir le pétrole repartir à la hausse puisqu'on a retracé toute cette période de baisse qu'on a eu fin janvier -tout début février, le marché ne demande qu'à aller plus haut. On devrait casser ce plus haut qui est à 84,20 dollars et s'il clôture au dessus, on devrait encore augmenter pour aller beaucoup plus haut.
surtout qu'ils ont une densité de population extrêmement faible en Russie.
ils leur manque quand même des ressources pour la high tech et l'industrie qui va avec.
enfin ce n'est pas vital.
Mouais bof l'économie toussote (Royaume Uni en récession).
je ne me risquerai pas à acheter. après je ne sais pas comment ça se passe depuis quelques semaines dans les detroits 'bidule' avec les attaques de supertankers
je suis à la ramasse complet en géopol' depuis quelques temps
ils leur manque quand même des ressources pour la high tech et l'industrie qui va avec.
enfin ce n'est pas vital.
Mouais bof l'économie toussote (Royaume Uni en récession).
je ne me risquerai pas à acheter. après je ne sais pas comment ça se passe depuis quelques semaines dans les detroits 'bidule' avec les attaques de supertankers
je suis à la ramasse complet en géopol' depuis quelques temps
Mouais bon on est sur des vents contraires.
les attaques de navires se poursuivent mais la demande marque le pas...
''Jeudi dernier, dans son rapport mensuel sur le pétrole, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a indiqué que le ralentissement de la croissance de la demande de pétrole « s'accélérera en 2024 ». La progression s’élèvera à une moyenne de 1,2 millions de barils par jour, « soit la moitié de la forte expansion de l'année dernière » (2,3 mb/j).
Le risque géopolitique modère cependant la baisse des cours lundi, « les tensions persistantes au Moyen-Orient » étant susceptibles de perturber l'offre, notent les analystes de DNB''
https://www.ledauphine.com/economie/2024/02/19/les-prix-du-petrole-baissent-encore-sur-fond-de-ralentissement-de-la-demande
dur de se positionner dans ces conditions
après à court terme tu peux jouer le rebond graphique mais ne pas t'eterniser
les attaques de navires se poursuivent mais la demande marque le pas...
''Jeudi dernier, dans son rapport mensuel sur le pétrole, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a indiqué que le ralentissement de la croissance de la demande de pétrole « s'accélérera en 2024 ». La progression s’élèvera à une moyenne de 1,2 millions de barils par jour, « soit la moitié de la forte expansion de l'année dernière » (2,3 mb/j).
Le risque géopolitique modère cependant la baisse des cours lundi, « les tensions persistantes au Moyen-Orient » étant susceptibles de perturber l'offre, notent les analystes de DNB''
https://www.ledauphine.com/economie/2024/02/19/les-prix-du-petrole-baissent-encore-sur-fond-de-ralentissement-de-la-demande
dur de se positionner dans ces conditions
après à court terme tu peux jouer le rebond graphique mais ne pas t'eterniser
tiens 20 minutes a fait une vidéo sur la raréfaction du pétrole dans un contexte de dépendance totale de nos sociétés
https://www.20minutes.fr/planete/4076365-20240219-energies-fossiles-si-venait-bientot-manquer-petrole6
https://www.20minutes.fr/planete/4076365-20240219-energies-fossiles-si-venait-bientot-manquer-petrole6
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