Le blockchain technologie derrière le Bitcoin et tant d'autres crypto-monnaies se trouve sous le feu des projecteurs en cett été au travers de quelques nouvelles médiatisées:
- l'introduction de Steem qui a un moment a connu un bond 1500% en 15 jours, coins qui ne se minent pas qui servent uniquement de monnaie de paiement à un projet de site rédactionnel style facebook qui rémunère les contributions d'articles au nombre de Likes
- l'informaticien John McAfee qui déclarait il y a un an ne pas croire que le Bitcoin serait la monnaie digitale qui tirerait spécialement son épingle du jeu parmis la concurrence et qui ce 1er août change d'avis pour se lancer dans une production hydraulique record et massive concurrençant les chinois leader du secteur alors que le BTC souffre d'une valorisation excessive en progrès et donc un timing plutôt exécrable
La plupart des coins populaires ont progressé sur l'année glissante en des proportions de +50% à +200% (mon cas) dans une tendance de fond se rapprochant des sommets historiques et sans réagir particulièrement à des vecteurs extérieurs comme le brexit. Il n'y a pas eu encore d'apathie interminable style éclatement de bulle de l'or durant des années. Ce sont des actifs qui restent vivants malgré leur marginalité
Au-delà des anecdotes publiques récentes, Blythe Masters à l'origine des Credit Default Swaps et l'une des grande responsable de la crise financière est fervente promoteuse de l'essort de sa propre technologie à base de blockchain au sein de sa société Digital Assets qui a convaincu quelques banques et banquiers de signer des chèques en blanc pour ne pas rater le train.
Elle pronostique que les premiers échanges de blockchain entreront dans les banques d'ici à 2 ans et d'ici 5 à 10 ans prévoit la propagation à toutes les transactions financières y compris boursières. A ce titre, la bourse australienne ASX mène déjà une expérience réussie et le nasdaq s'est déclarée interessé.
A la base, le blockchain devait alimenter une économie parallèle décentralisée en dehors des réseaux traditionnels pour les étouffer et maintenant les financiers lui ont trouvé d'autres attributs pour le réinsérer dans le système bancaire. Avec on peut atteindre des économies de coûts majeurs de l'ordre de 30% à 50% en infrastructure et personnel pouvant supprimer des chainons de backoffice complets et viser des transactions quasi instantannées qui n'échangent plus seulement de l'argent mais intègrent des chaines d'informations comme des transferts de garanties lors de la constrution de prêts ou de propriétaire lors de l'échange de dettes etc
Comme tout projet fintech chacun y voit midi à quatorze heures...
Après un effeuillage des monnaies j'ai décidé de miser essentiellement sur l'une des 10 plus grosses capitalisations de marché sur les 700 monnaies. Pour des soucis de maitriser la volatilité je ne ferais pas part de mon choix qui se porte bien avec une progression en volatilité linéaire. Je compte encore renforcer ma position en 2017 en lissant les investissements. Non scoop, c'est un coin dont les concepteurs s'attèlent à palier aux déficiences du Bitcoin pour le faire percer dans plus de projets concrets de l'économie.
Comme échange j'utilise le new-yorkais Poloniex qui concentre toujours le plus de volume transactionnel et le plus de millions quotidiens niveau global malgré que je préfère la plateforme Exmo ou je peux faire des dépôts et retraits flash sans attendre 45 minutes et donc sauter sur certaines cotations entre mon portefeuille officiel QT wallet et les marchés. Pour le maximummum de sécurité je ne laisse jamais mes coins chez les échangeurs car subsiste un historique de failles ou hacking (vol de $50k chez Poloniex en 2014 qui Futures remboursé)
Et vous, quel regard portez-vous ? S'il y a des connaisseurs avez-vous des tuyaux à partager ? une vision personnelle ?
- l'introduction de Steem qui a un moment a connu un bond 1500% en 15 jours, coins qui ne se minent pas qui servent uniquement de monnaie de paiement à un projet de site rédactionnel style facebook qui rémunère les contributions d'articles au nombre de Likes
- l'informaticien John McAfee qui déclarait il y a un an ne pas croire que le Bitcoin serait la monnaie digitale qui tirerait spécialement son épingle du jeu parmis la concurrence et qui ce 1er août change d'avis pour se lancer dans une production hydraulique record et massive concurrençant les chinois leader du secteur alors que le BTC souffre d'une valorisation excessive en progrès et donc un timing plutôt exécrable
La plupart des coins populaires ont progressé sur l'année glissante en des proportions de +50% à +200% (mon cas) dans une tendance de fond se rapprochant des sommets historiques et sans réagir particulièrement à des vecteurs extérieurs comme le brexit. Il n'y a pas eu encore d'apathie interminable style éclatement de bulle de l'or durant des années. Ce sont des actifs qui restent vivants malgré leur marginalité
Au-delà des anecdotes publiques récentes, Blythe Masters à l'origine des Credit Default Swaps et l'une des grande responsable de la crise financière est fervente promoteuse de l'essort de sa propre technologie à base de blockchain au sein de sa société Digital Assets qui a convaincu quelques banques et banquiers de signer des chèques en blanc pour ne pas rater le train.
Elle pronostique que les premiers échanges de blockchain entreront dans les banques d'ici à 2 ans et d'ici 5 à 10 ans prévoit la propagation à toutes les transactions financières y compris boursières. A ce titre, la bourse australienne ASX mène déjà une expérience réussie et le nasdaq s'est déclarée interessé.
A la base, le blockchain devait alimenter une économie parallèle décentralisée en dehors des réseaux traditionnels pour les étouffer et maintenant les financiers lui ont trouvé d'autres attributs pour le réinsérer dans le système bancaire. Avec on peut atteindre des économies de coûts majeurs de l'ordre de 30% à 50% en infrastructure et personnel pouvant supprimer des chainons de backoffice complets et viser des transactions quasi instantannées qui n'échangent plus seulement de l'argent mais intègrent des chaines d'informations comme des transferts de garanties lors de la constrution de prêts ou de propriétaire lors de l'échange de dettes etc
Comme tout projet fintech chacun y voit midi à quatorze heures...
Après un effeuillage des monnaies j'ai décidé de miser essentiellement sur l'une des 10 plus grosses capitalisations de marché sur les 700 monnaies. Pour des soucis de maitriser la volatilité je ne ferais pas part de mon choix qui se porte bien avec une progression en volatilité linéaire. Je compte encore renforcer ma position en 2017 en lissant les investissements. Non scoop, c'est un coin dont les concepteurs s'attèlent à palier aux déficiences du Bitcoin pour le faire percer dans plus de projets concrets de l'économie.
Comme échange j'utilise le new-yorkais Poloniex qui concentre toujours le plus de volume transactionnel et le plus de millions quotidiens niveau global malgré que je préfère la plateforme Exmo ou je peux faire des dépôts et retraits flash sans attendre 45 minutes et donc sauter sur certaines cotations entre mon portefeuille officiel QT wallet et les marchés. Pour le maximummum de sécurité je ne laisse jamais mes coins chez les échangeurs car subsiste un historique de failles ou hacking (vol de $50k chez Poloniex en 2014 qui Futures remboursé)
Et vous, quel regard portez-vous ? S'il y a des connaisseurs avez-vous des tuyaux à partager ? une vision personnelle ?
