Je pense que tout le monde se sent proche de ce que tu expliquesGuillaume a écrit : En revanche je lutte en ce moment sur un blocage psycho que je soupçonne être une peur de gagner ou de réussir. Je ressens souvent lorsque je vois des points d'entrée qui me semblent très bon,comme en ce moment à la hausse sur le dax, une incapacité à ouvrir la postion.
Alors je regarde le cours monter et puis, je suis satisfait intellectuellement car ma tactique a fonctionné, mais je n'ai rien gagné.
Avez-vous parfois le même problème ?
Mais je pense surtout que comme tout le monde, on oublie nos échecs pour ne se souvenir que des réussites. => Du style:
Nom di dju, je l'avais dit qu'il fallait shorter le Dax ce matin et en effet, le Dax baisse de + de 2% et tout de suite, on compte les PV qu'on aurait pu faire (sans trop savoir d'ailleurs quand on aurait clôturé, au plus haut comme d'habitude.)
Et pendant ce temps, on oublie qu'on avait pensé de prendre Long sur le Cac ou le Gold ou autres pensées qui ELLES ne se réalisent pas et qui partent dans le sens opposé à notre analyse
Autre chose: Soit on spécule pour faire du argent et dans ce cas, il faut prendre des risques, soit on trade comme on fait un sport: pour le "fun" avec de faible montant.
Dans le premier cas, si on trade et qu'on acte des petites PV, il vaut peut-être mieux aller travailler quelques heures de plus avec une certitude de gains de 100%
Dans le second cas, c'est considéré comme hobby et dans ce cas, peu importe les résultats
Conclusion: Soit on veut faire du blé et on doit rester scotché à son ordi pendant des lustres (pour de toutes façons être perdants au final) et passer à côté d'autres choses bien plus importants dans la vie
Soit on trade comme on ferait un sport ou autres divertissements
Perso, mes investissements Long terme sont positifs
Mes trades sont largement négatifs et la perte de temps et d'argent commence à prendre le pas sur le plaisir que j'avais au début d'apprendre le trading :roll:
D'autant plus que cela s’apparente de + en + au casino et que l'économie, la vraie, celle qui m’intéresse, n'est pas/plus représentée
