J'ai comme l'impression que tu n'as effectivement pas tout compris. Je recommence donc !
Tout d'abord, il convient de distinguer 2 cas dans la vie du certif. Soit le strike a été touché (3600 dans mon cas), soit il n'a pas été touché.
1/ Le strike a été touché : alors le certif va suivre la courbe du CAC. Ledit certif ne descendra jamais en dessous de 0€, et jamais au dessus de 200€. Mais ça, je crois que tu l'as bien compris.
2/ Le strike n'a pas été touché : alors le certif va valoir, à l'échéance, 200€. Même si le CAC ne vaut que 3601pts. Le principal étant de ne pas toucher 3600.
Pour reprendre mon certif sept2013, comme le CAC n'a pas encore touché 3600, je peux me permettre que le CAC descende encore de 400 pts (puisqu'il vaut plus de 4000pts), pour que je reste 100% gagnant.
Si les 3600 avaient déjà été touchés, il faudrait que je prie pour que le CAC ne descende pas en dessous de 3800 pour que je reste 100% gagnant.
Un certif est négociable à tout moment, jusqu'au jour de l'échéance (jour compris). On peut donc en acheter/vendre (au comptant) aux heures de cotation de Paris. Par exemple, je pense que je larguerai mes Sept2013 dans la semaine prochaine probablement.
Pour le certif de déc2013, comme il reste quand-même quelques semaines d'ici-là, le certif va bouger plus vite que le cours du
sous-jacent. Mais plus on approche de l'échéance, plus il se calmera (puisque les probabilités que le
sous-jacent fasse tel ou tel score s'amenuisent).
C'est bon là?
Pour ma part, il faudrait aussi que je creuse les options, parce qu'on doit pouvoir parier sur les mêmes choses, avec peut-être plus de gains ...