File scalping et day trading du vendredi 1er septembre 2023

le fou du village a parler

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il nous fatigue celui là

Ca sent le cesser-le-feu ce WE

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Spoiler:

PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 01 SEPTEMBRE 2023 - 19H45
Alors que le discours post-salaire dominant s'est concentré sur la divergence entre les chiffres de l'emploi plus forts que prévu (bien qu'ils seront bientôt révisés à la baisse) (qui, à 187 000, étaient juste au-dessus des attentes de 170 000, mais après deux mois fortement révisés à la baisse) et l'inattendu. Si le taux de chômage a augmenté de 3,5 % à 3,8 %, le plus élevé depuis février 2022, un examen plus approfondi des détails du rapport sur l'emploi d'aujourd'hui révèle à quel point la réalité derrière la bidenomics qui brise le budget est laide.

Commençons par les révisions.

Les lecteurs réguliers savent qu'au début de cette année, nous avons repéré une tendance particulière en ce qui concerne les données économiques publiées par l'administrateur Biden qui - sans faute - ont été révisées à la baisse...

... et ce mois-ci n'a pas été différent. En fait, comme le montre le tableau ci-dessous, les tâches imprimées chaque mois ont été révisées à la baisse ! Pourquoi? De sorte que la Maison Blanche peut s’attribuer le mérite d’un chiffre élevé (qui déclenche également des achats algorithmiques sur le marché) pour ensuite le réviser discrètement à la baisse un ou deux mois plus tard, alors que personne ne cherche à atténuer la pente de la récession à venir.

Mais ce n'est qu'un début. Nous nous tournons ensuite vers les chiffres derrière les principaux chiffres de l'emploi qui n'étaient en fait pas si terribles : les masses salariales mensuelles non agricoles (issues de l'enquête auprès des établissements (peut-être faibles à 187 000), mais l'enquête auprès des ménages, bien plus précise, a montré que le nombre de travailleurs employés a en fait augmenté. de 268 000 à 161,3 millions, pour le deuxième mois consécutif, l'enquête auprès des ménages a battu l'establishment.

Jusqu'ici, tout va bien. Il n'y a que deux problèmes avec ce numéro. Premièrement, le modèle Naissance-Décès (BD), qui est intégré dans la publication des statistiques actuelles de l'emploi (CES) du BLS, qui contient les NFP et qui constitue l'une des couches de base « d'ajustement » que le BLS utilise pour ajuster le modèle réel . , le nombre d'emplois sous-jacent brut et l'objectif de recherche du nombre d'emplois souhaité . Cela ne surprendra pas beaucoup qu'en août, l'ajustement naissance-décès ait connu la cinquième augmentation consécutive à la hausse, et à 103 000, il a suivi la deuxième contribution la plus élevée de 2023 lorsque le BD de juillet a ajouté 280 000. En d’autres termes, plus de la moitié de tous les « gains » d’emplois résultaient encore une fois du fait que le BLS supposait queque les entreprises nouvellement « nées » ont créé au moins 103 000 nouveaux emplois, un chiffre qui n’est pas du tout basé sur des faits observables mais est une régression par rapport à une ligne de tendance historique dont seul le BLS est au courant.

Malheureusement, la situation est bien pire, car alors que l'enquête auprès des établissements n'examine que quantitativement les emplois, l'enquête auprès des ménages (qui a encore une fois été plus forte ce mois-ci) examine également la qualité des emplois gagnés ou perdus , et plus particulièrement elle décompose les emplois en deux catégories : emplois à temps partiel et à temps partiel (Source : Tableau A-9 ).

Eh bien, un coup d'œil à l'ajustement de ce mois-ci est littéralement choquant : vous n'entendrez personne de l'administrateur de Biden ou des pom-pom girls économistes associés en parler, mais le BLS a rapporté qu'en août, le nombre d'emplois à temps plein a de nouveau chuté, glissant de 85 000. à 134,2 millions, et a suivi la chute énorme de 585 000 en juillet, qui porte la baisse totale sur deux mois des emplois à temps plein à 670 000, la plus forte chute sur 2 mois depuis les confinements liés au covid début 2020, lorsque 12,5 millions d'emplois à temps plein ont été perdus en un mois !

Mais si les emplois à temps plein s’effondraient, comment le BLS aurait-il pu obtenir une augmentation de 222 000 salariés ? C’est simple : tout cela s’explique par la dernière vague de travailleurs à temps partiel. En effet, en août, le nombre de travailleurs à temps partiel déclarés a bondi de 32 000 et, ajouté à la hausse quasi-record de 972 000 en juillet, le total sur deux mois s'élevait à un peu plus d'un million – 1 004 000 pour être précis – pour atteindre 27,185 millions .



En revenant à une lecture quantitative des données, nous examinons le nombre de personnes occupant plusieurs emplois , c'est-à-dire les travailleurs qui doivent occuper plus d'un emploi à la fois pour joindre les deux bouts. En août, ce nombre était en fait une modeste lueur d'espoir, car il a chuté en juillet, ce nombre a chuté de 85 000 à 8,028 millions, mais il reste juste en dessous du record d'avant Covid.



Mais attendez, il y a plus : comme nous l'avons noté hier soir, la masse salariale d'août est un chiffre inventé presque entièrement par les ajustements saisonniers, et comme le note SouthBay Research, en août, l'ajustement saisonnier a créé 159 000 des 179 000 croissances de la paie privée . 90% du total.



Pendant ce temps, comme le note SouthBay, cela fait 6 mois que le gouvernement a officiellement mis fin aux abris sur place contre le COVID. Pourtant, les mécanismes du modèle de paie continuent de se comporter comme si un traitement spécial était nécessaire. En effet, cela s’est reflété toute l’année dans des ajustements saisonniers absurdement haussiers . Comme le montre le graphique suivant, les données non faussées (les données non désaisonnalisées) dressent un tableau très préoccupant de la faiblesse des embauches.



En bref, les embauches non ajustées ont été les deuxièmes pires depuis la Grande Récession de 2009 !

Comme le résume SouthBay : « L’embauche est au point mort… suggérer que le marché du travail est solide n’est pas étayé par les données réelles. »

Au total, si l'on en croit les gros titres, en août, les États-Unis ont créé 187 000 emplois et le nombre de travailleurs employés a augmenté de 222 000. Cependant, en examinant de plus près les ajustements appliqués aux données réelles et leur composition, nous constatons non seulement que l'augmentation non ajustée n'était que de 20 000 emplois, soit le pire mois d'août depuis la crise financière mondiale, mais qu'en août, le nombre d'emplois les travailleurs à temps plein bien payés ont en fait diminué de 85 000, compensée par une augmentation de 32 000 travailleurs à temps partiel.

En plus des mesures frappantes de juillet, nous obtenons une baisse de 670 000 travailleurs à temps plein au cours des derniers mois, compensée par une augmentation de 1 004 000 travailleurs à temps partiel. Il n’est donc pas étonnant que les cumuleurs d’emplois soient tout juste à côté des sommets historiques, qui ont découvert que pour suivre le miracle économique qu’est la « Brandonomics », ils doivent occuper (beaucoup) plus qu’un seul emploi.



En bref : août a été un autre mois lamentable pour le marché du travail, c'est pourquoi nous nous attendons au théâtre habituel : des manipulations et des mensonges incessants de la part de l'administration Biden, et pas une seule question pertinente de la part des médias libéraux dont le travail n'est pas d'éduquer ou d'éduquer. informer, mais pour apporter de l'eau, répandre des mensonges et permettre la propagande.

8 signes indiquant que nous sommes au bord d’une crise majeure de la dette liée aux cartes de crédit

PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 01 SEPTEMBRE 2023 - 10H45
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,

Nous n’en sommes pas encore là, mais une énorme crise de la dette liée aux cartes de crédit se prépare définitivement.

Les Américains dépendent de plus en plus de leurs cartes de crédit pour joindre les deux bouts de mois en mois, le pourcentage d'entre nous qui ont des soldes de mois en mois augmente et le taux d'intérêt moyen sur ces soldes est passé au-dessus de 20 pour cent. Si vous pouvez l’éviter, ne reportez pas les soldes de vos cartes de crédit de mois en mois, car cela vous étoufferait financièrement. Malheureusement, nos jeunes n’apprennent jamais cela à l’école et nombre d’entre eux se retrouvent dans de graves difficultés financières une fois devenus adultes. Et une fois que vous êtes confronté à de graves difficultés financières, cela peut prendre de nombreuses années pour vous en sortir.

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Au cours de toutes mes années, je n’ai jamais vu des chiffres comme ceux auxquels nous assistons actuellement.

Voici 8 signes indiquant que nous sommes au bord d’une crise majeure de la dette liée aux cartes de crédit…

#1 Le montant total de la dette liée aux cartes de crédit aux États-Unis a dépassé la barre des mille milliards de dollars et se situe désormais au niveau le plus élevé jamais enregistré …

La Réserve fédérale de New York a annoncé plus tôt en août que la dette totale des cartes de crédit avait grimpé à 1 030 milliards de dollars au cours de la période de trois mois d’avril à juin, soit une augmentation de 45 milliards de dollars – ou 4,6 % – par rapport au trimestre précédent. Il s’agit du niveau le plus élevé jamais enregistré dans les données de la FED remontant à 2003.

#2 Le taux d’intérêt moyen sur les soldes des cartes de crédit a désormais atteint un nouveau record historique de 20,63 % …

La double augmentation de l’utilisation des cartes de crédit et des taux de délinquance est particulièrement préoccupante car les taux d’intérêt sont actuellement astronomiquement élevés. Le taux annuel moyen des cartes de crédit, ou TAEG, a atteint un nouveau record de 20,63 % la semaine dernière, selon une base de données Bankrate qui remonte à 1985.

#3 Un énorme 47 pour cent de tous les titulaires de carte américains ont désormais des soldes de mois en mois…

De nombreux titulaires de carte de tous âges et de tous groupes de revenus reportent les soldes de leurs cartes de crédit, 47 % d'entre eux déclarant le faire – contre 39 % en décembre 2021 – selon l'enquête (réalisée en juillet). Selon l'âge, 53 % des soldes de cartes de la génération X sont reportés d'un mois à l'autre. Viennent ensuite les consommateurs de la génération Z (52 %), suivis des millennials (49 %) et des baby-boomers (41 %).

#4 Le niveau moyen d’endettement des cartes de crédit aux États-Unis continue de croître…

La dette moyenne nationale sur carte de crédit est passée à 7 227 $, selon l'enquête.

Cependant, les consommateurs américains de certains États étaient plus endettés que d’autres. Les résidents du Connecticut avaient le niveau d'endettement moyen le plus élevé, soit 9 408 dollars, dépassant la moyenne nationale de 30 %, selon l'enquête. Juste derrière se trouvaient les détenteurs de cartes de crédit de New York, enregistrant la deuxième dette moyenne la plus élevée, soit 9 165 dollars.

#5 La plupart des Américains ne s'endettent pas sur leur carte de crédit parce qu'ils effectuent des achats frivoles. Selon un initié du secteur, la plupart des Américains le font « parce qu’ils sont confrontés à des difficultés financières » …

L'analyste de Bankrate.com, Greg McBride, a déclaré que « les gens ne financent pas leurs achats à 20 % parce que tout se passe à merveille. Ils le font parce qu'ils sont confrontés à des difficultés financières.

#6 Le nombre de défauts de paiement sur cartes de crédit aux États-Unis a considérablement augmenté au cours des deux dernières années …

Le nombre croissant de comptes en souffrance indique également que les gens ont du mal à suivre leurs paiements par carte de crédit. Le nombre de comptes en souffrance au cours d'un cycle a augmenté de 42,6% au cours des deux dernières années. Les impayés ont atteint leur plus haut niveau depuis 2017.

#7 Une enquête récente a révélé que de nombreux Américains qui utilisent réellement des prêts personnels pour consolider leurs dettes de carte de crédit finissent par avoir rapidement de nouveaux soldes de cartes de crédit proches de leurs niveaux précédents…

Une enquête menée par TransUnion entre avril 2021 et septembre 2022 a révélé que les emprunteurs qui ont eu recours à un prêt personnel pour consolider leurs dettes de carte de crédit ont vu leurs soldes diminuer de 57 % en moyenne, mais pour beaucoup, ces soldes sont revenus proches de leurs niveaux précédents 18 mois plus tard. .

#8 À l’heure où les conditions économiques ralentissent partout dans le pays, les Américains deviennent de plus en plus dépendants de leurs cartes de crédit …

En fait, deux Américains sur cinq possédant une carte de crédit ont déclaré qu'ils étaient plus dépendants de leurs cartes de crédit que jamais, selon l'enquête. Et 35 % ont déclaré qu'ils ne seraient pas en mesure de rembourser leurs dettes de carte de crédit avant la fin de l'année. En outre, 35 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles utiliseraient probablement au moins une carte de crédit au maximum d'ici la fin de 2023.

"Cette dépendance accrue à l'égard des cartes de crédit est susceptible de conduire de nombreuses personnes à un endettement encore plus profond, ce qui est particulièrement gênant avec des taux d'intérêt bien supérieurs à 10%", a déclaré Quicken dans son rapport.

Malheureusement, de plus en plus d'Américains risquent d'avoir des problèmes de carte de crédit dans les mois à venir, car le marché du travail se tend de plus en plus.

En fait, nous venons de recevoir de nouveaux chiffres qui ont suscité pas mal d’inquiétude…

Alors que le Consensus ne s'attendait qu'à une légère baisse des offres d'emploi en juillet, de 9,582 millions à 9,5 millions, ce que le BLS a rapporté était plutôt décevant : en juillet, il n'y avait que 8,827 millions d'offres d'emploi , le premier chiffre inférieur à 9 millions depuis mars 2021 . C'était aussi le 3ème plus gros raté jamais enregistré !

Pire encore, si le BLS n'avait pas réduit drastiquement le chiffre de mai de 9,582 millions à un chiffre risible de 9,165 millions, la baisse aurait été de près de 800 000 offres d'emploi. Et oui, la révision à la baisse d'aujourd'hui…

… poursuit la tendance récente selon laquelle chaque point de données de l’administration Biden est révisé fortement à la baisse au cours des mois suivants, dans une tentative de propagande coordonnée visant à donner à l’économie une apparence plus forte, puis à la réviser tranquillement lorsque tout le monde oublie.

L’économie se dirige clairement vers une période très difficile, et les perspectives à long terme sont encore pires .

Ce n’est donc pas le moment de s’endetter davantage.

Au lieu de cela, le moment est venu de fermer les écoutilles.

Je vous encourage vivement à devenir « maigre et mesquin » financièrement, car ceux qui sont très endettés sont susceptibles de connaître beaucoup de souffrance au cours des années stressantes à venir.

l heure du nasdaq

il faut aussi savoir que si tu ne fais pas de credit aux US , tu n as pas de credit score ...
donc difficile d acheter ensuite une maison , une voiture ou meme devenir locataire
le systeme est tres pervers et est base sur un nombre de points acquis sur tes encours , la regularite de tes paiements mais aussi tes deblocages de fonds
bref tres pervers tout ca >
et ne remet nullemement en cause l article de ZH
merci JPM

On peut voir le verre à moitié plein ou à moitié vide mais l’encours des cb aurait pu-du augmenter bien plus du fait de l’Inflation.
Par ailleurs, l’endettement global des ménages us reste stable, ce qui est aussi bon signe vu l’énorme hausse des taux d’intérêt.

il on seulement a payer cash

question si vous avez le temps de répondre , la prochain véhicule que vous aller acheter dans 1 ans ou 5 ans ou plus esque vous envisager d acheter un véhicule éléctrique ?

et Bobo qui est vendeur d auto , combien d auto éléctrique tu vend a comparer de ceux a gaz ou les %

si vous etes pas toute partie a walt disney lollll

possible oui en deuxieme voiture ....
petit modele pas cher

et si je reviens en france
l autre vehicule sera un enorme diesel , il y aura des affaires a faire en europe

bonne fin de semaine a tous
je viendrai lire les réponse demain matin en prenant mon café

Trêve électrique

Bonne soirée à tous / week end

Bonne week end a mardi .

Merci encore

Belle soirée et bon week-end

Bonne soirée & bon weekend

Non Treve, j'attends l'hydrogène.
Bonne soirée et bon week-end à toutes et tous.

Bonne soirée et bon week-end.
À mardi.

Pas prévu d'acheter une électrique Treve.