je n'ai jamais été dans l'idéologie de ma vie je pense, je pense avoir un niveau un peu supérieur à cela et assez de recul.
Les banques centrales contrairement à ce que l'on croit ne "crée" pas de la monnaie en claquant des doigts. La création monétaire est très précise et elle se base sur des critères économiques pour éviter l'hyper
Inflation.
La dette française n'est absolument pas détenue par la banque centrale
BCE. Elle ne prête pas aux Etats pour des raisons évidentes. Comme je l'ai expliqué les assurances vies ont été créées pour absorber la dette (faire payer deux fois les français)
Dernière étude sérieuse
-
- Detention-des-OAT-par-groupe-de-porteurs_large.png (21.77 Kio) Vu 627 fois
Selon les chiffres publiés par l’Agence France Trésor (AFT), parmi les détenteurs de la dette publique, on trouve 64 % de non-résidents (à fin décembre 2014) tous titres de créances négociables confondus (BTF, BTAN,
OAT) émis par l’État.
Une proportion en hausse sensible depuis la fin du XXème siècle (en 1993, seul un tiers de la dette publique française était détenu par des non-résidents).
Pour l’essentiel il s’agit d’investisseurs institutionnels (fonds de pensions et fonds d’assurance notamment), mais aussi de fonds d’investissements souverains, de banques, voire de fonds spéculatifs. Il n’existe pas d’information publique détaillée à ce sujet.
Ce sont d’ailleurs également des banques et des investisseurs institutionnels (principalement les fonds d’assurance vie) que l’on retrouve parmi les principaux détenteurs résidents de la dette publique française. L’État français emprunte donc environ un tiers de sa dette aux banques et sociétés financières nationales. Près de 20 % sont détenus par des compagnies d’assurance, qui "achètent" des titres de dette française pour les placements d’assurance vie. Les particuliers sont donc indirectement détenteurs d’une partie significative de la dette publique française. Les banques françaises en détiennent environ 10 %. C’est moins que dans les autres pays européens. Une étude publiée en avril 2011 par la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) fournit des éléments de comparaisons internationales intéressants.
Les pays de la zone euro font davantage appel aux investisseurs étrangers que le Japon, les États Unis ou le Royaume Uni. Au sein de la zone Euro, la France (70 %) vient en 4ème position derrière l’Irlande (85 %), le Portugal (75 %) et la Grèce (71 %). L’Allemagne est à 53 %, l’Italie et l’Espagne à 44 %.