Goldman plonge après avoir manqué son chiffre d'affaires
Un jour de bourse après que JPM a annoncé des bénéfices décevants et que son action a subi la plus forte baisse post-bénéfice en une décennie, il y a quelques instants, Goldman l'a rejoint dans le banc des pénalités avec ses actions chutant jusqu'à 3,1% dans les échanges avant commercialisation mardi après avoir signalé pire que- revenus de négociation attendus au quatrième trimestre, même si les revenus globaux ont dépassé (revenus du quatrième trimestre de 12,6 milliards de dollars, 12,08 milliards de dollars d'expansion), avec un BPA de 10,81 $ également inférieur aux attentes de 11,76 $. Le bénéfice
total a diminué de 13 % à 3,94 milliards de dollars, alors même que les revenus ont augmenté de 8 %. Pourtant, il s'agissait d'un chiffre solide dans le contexte : le bénéfice de JPMorgan a chuté de 14 % au quatrième trimestre par rapport à l'année précédente, tandis que le bénéfice de Citigroup a chuté de 26 %.
Alors que les ventes et les revenus de négociation du FICC de la banque de 1,86 milliard de dollars étaient supérieurs à la prévision moyenne des analystes de 1,80 $, et stables Y / Y, tandis que les ventes d'actions et les revenus de négociation ont manqué les attentes, s'élevant à 2,12 milliards de dollars contre 2,47 milliards de dollars vus par les analystes et en baisse 11 % Y/Y, ce qui entraîne une baisse de la rotation globale des échanges. de 3,99 milliards de dollars, inférieur à l'estimation de 4,27 milliards de dollars, et en baisse de 7 %, la
volatilité induite par la pandémie sur les marchés des capitaux s'étant atténuée. Les revenus de trading ont chuté de 11% chez JPMorgan et de 17% chez Citigroup.
Selon Goldman, la raison de l'échec est que "les revenus nets des actions étaient inférieurs, reflétant des revenus nets d'intermédiation nettement inférieurs, partiellement compensés par des revenus nets de financement significativement plus élevés". En outre, "l'environnement opérationnel du 4T 21 a été caractérisé par des conditions de tenue de marché difficiles par rapport au 3T 21, bien que les niveaux d'activité soient restés solides, les cours des actions étaient généralement plus élevés et la
volatilité a augmenté."
D'autre part, et à l'instar de JPM, les revenus de la banque d'investissement de 3,60 milliards de dollars ont dépassé de loin les attentes de 3,07 milliards de dollars.
Bien qu'elle ne soit pas aussi exigeante en termes de bilan que les autres banques du centre monétaire, Goldman a déclaré un revenu net d'intérêts de 6,5 milliards de dollars pour 2021 et de 1,795 milliard de dollars pour le quatrième trimestre, soit une augmentation significative par rapport à 4,75 milliards de dollars il y a un an et à 1,4 milliard de dollars au quatrième trimestre 2020.
Dans une évolution préoccupante, et tout comme JPMorgan, les dépenses de rémunération de Goldman ont atteint 3,25 milliards de dollars, bien au-dessus de l'estimation de 2,89 milliards de dollars, et une énorme augmentation de 31% à 3,25 milliards de dollars (et les bonus uniques de plusieurs millions ne seront pas aider à cette
tendance). Les dépenses d'exploitation totales se sont élevées à 7,27 milliards de dollars, en hausse de 23 % par rapport à la même période un an plus tôt.
Les dépenses de rémunération chez Goldman Banks sont dans une bataille pour obtenir et garder des faiseurs de pluie qui peuvent maintenir l'élan des deux dernières années. Les entreprises de
wall street, dont Goldman, ont également augmenté les salaires l'année dernière pour les banquiers juniors, dont beaucoup ont trouvé le travail fastidieux de la banque d'entrée de gamme moins attrayant lorsqu'ils le faisaient à domicile.
En creusant plus profondément dans la rémunération, en termes simples de dollars, la rémunération totale et les avantages sociaux ont augmenté de 4,4 milliards de dollars en 2021 chez Goldman. Pendant ce temps, comme le note Bloomberg, les versements de la banque aux actionnaires sous forme de dividendes et de rachats ont augmenté de 3,8 milliards de dollars. Et rappelez-vous que les paiements ont été limités par les régulateurs pendant la majeure partie de 2020, de sorte que le
total devrait alors être artificiellement bas. En d'autres termes, dans une nouvelle tournure, Goldman paie désormais ses employés plus que ses actionnaires.
Et lié à cela, Goldman a poursuivi sa récente vague d'embauches et son personnel a atteint 43 900 à la fin de 2021, en hausse de 2 % par rapport à 43 000 trois mois plus tôt – et en hausse de 8 % par rapport à 40 500 à la fin de 2020.
Le
rendement des
Capitaux propres de la banque, une mesure de la rentabilité avec laquelle elle utilise l'argent des actionnaires, était de 23% en 2021 après un
rendement de 11,1% en 2020. En janvier 2020, Goldman a fixé un objectif de
rendement d'au moins 13% d'ici 2023.
De plus, comme l'observe Bloolmberg, le taux d'imposition effectif de Goldman pour 2021 était même de 20%, une forte baisse par rapport aux 24,2% de 2020 pour 2020, la banque créditant "une diminution des provisions pour litiges non déductibles, partiellement compensée par une diminution de l'impact d’avantages fiscaux en 2021 par rapport à 2020. » Notez également que le taux a légèrement augmenté après avoir atteint 19,6% pour les neuf premiers mois de 2021, en raison "d'une diminution de l'impact des avantages fiscaux".
"C'est un trimestre décevant en raison de la forte augmentation des dépenses et de la faiblesse des actions", écrit le fondateur de Vital Knowledge, Adam Crisafulli. "Il semble également que leur portefeuille d'investissements en actions ait été affecté par les turbulences des marchés des capitaux au quatrième trimestre", a-t-il ajouté.
Le titre est en forte baisse avant la commercialisation en raison des bénéfices décevants, en baisse de plus de 4 % et en baisse.
Mon année littéraire sera terminée comme cela 
