File scalping et day trading du mardi 4 avril 2023

Long nq

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le tx a new york a tout repris des boite a lunch

on donne de la main droite et on reprend de la main gauche

Il m'a même prit avant

Idem Shady

vla 34 minute


Par Tatiana Bautzer

NEW YORK (Reuters) - La crise bancaire américaine se poursuit et son impact se fera sentir pendant des années, a écrit mardi le PDG de jpmorgan chase & Co (NYSE : JPM ), Jamie Dimon, dans une lettre aux actionnaires.

"La crise actuelle n'est pas encore terminée, et même lorsqu'elle sera derrière nous, elle aura des répercussions pour les années à venir", a écrit Dimon dans un message annuel de 43 pages couvrant une gamme de sujets allant des performances de JPMorgan à la géopolitique et à la réglementation. .

Les nuages ​​​​d'orage menacent toujours l'économie comme ils l'ont fait il y a un an, a déclaré Dimon, directeur général du plus grand prêteur américain. Et le système bancaire est de nouveau sous pression après l'échec du sauvetage de la Silicon Valley Bank et du Credit Suisse par UBS le mois dernier.

"Les risques de récession du marché ont augmenté", a écrit Dimon. "Et bien que cela ne ressemble en rien à 2008, on ne sait pas quand cette crise actuelle prendra fin. Elle a provoqué beaucoup de frousse sur le marché et entraînera clairement un resserrement des conditions financières à mesure que les banques et autres prêteurs deviennent plus conservateurs."

Même ainsi, il n'est pas clair si les perturbations ralentiront les dépenses de consommation qui stimulent l'économie américaine, a écrit Dimon.

Les risques qui ont conduit à la crise actuelle "se cachaient à la vue de tous", a écrit Dimon, citant l'exposition aux taux d'intérêt et le niveau des dépôts non assurés à la Silicon Valley Bank.

Mais il a minimisé les similitudes avec la crise financière mondiale. Alors que le krach de 2008 a frappé de grandes banques, des prêteurs hypothécaires et des assureurs avec des interconnexions mondiales, "cette crise bancaire actuelle implique beaucoup moins d'acteurs financiers et moins de problèmes à résoudre", a déclaré Dimon.

Après avoir pris la tête de JPMorgan en 2006, Dimon a présidé les acquisitions en période de crise de la banque d'investissement en difficulté bear Stearns et de Washington Mutual, l'épargne et le prêt dont l'échec a été le plus important de l'histoire des États-Unis.

Alors que la crise actuelle se déroulait, Dimon a de nouveau joué un rôle central, aidant à organiser une bouée de sauvetage de 30 milliards de dollars pour First Republic Bank (NYSE : FRC ) auprès de 11 grands prêteurs.

JPMorgan, bank of america Corp (NYSE : BAC ), Citigroup (NYSE : C ) et Wells Fargo (NYSE : WFC ) & Co ont engagé 5 milliards de dollars chacun, suivis de Morgan Stanley (NYSE : MS ) et GOLDMAN SACHS (NYSE : GS ) , avec 2,5 milliards de dollars chacun.

Toute nouvelle réglementation en réponse aux dernières turbulences devrait être "réfléchie", y compris des règles plus claires pour traiter avec les banques en faillite, a écrit Dimon. "Les exigences de fonds propres erratiques des tests de résistance et l'incertitude constante autour des futures réglementations nuisent au système bancaire sans le rendre plus sûr."

Les actions de JPMorgan ont chuté de près de 3 % cette année depuis la clôture précédente de l'action, contrairement à une baisse de 13 % de l'indice S&P des actions bancaires plus larges.

Les actions de la banque ont chuté de 2 % à 127,55 $ peu après midi.

La société, aux côtés d'autres géants du crédit bank of america et Citigroup, a été inondée de dépôts après l'effondrement de Silicon Valley Bank en mars, ont déclaré à l'époque des sources proches de la situation.

Dimon a également visé les sociétés financières non bancaires, qui sont devenues de plus en plus compétitives avec les banques dans la fourniture de prêts hypothécaires, de cartes de crédit et de services de tenue de marché.

"Les institutions de crédit non bancaires seraient-elles en mesure de fournir des crédits lorsque leurs clients en ont le plus besoin ?" Il a demandé. "Je doute personnellement que beaucoup d'entre eux le puissent."

Merci Treve

tout va bien !
jp morgan le dit à demi-mot étouffé

puisqu'il récupère les clients des autres banques en déroute...

je viens de passer mon premier short depuis le début du mois…, je suis sorti avec quelques points, attendez-vous donc un bon massif du nasdaq

Toujours en call perso, analytiquement parlant, les 13500 ne sont pas un objectif incohérent (extension de fibonacci + haut du canal haussier)

On verra...

en tout cas, aujourd'hui c'est Noël : mon serveur est enfin partie de chez LDLC pro et j'utilise la version de mon logiciel de reconnaissance vocale que j'attendais depuis 3 ans. Il fonctionne vraiment mieux !

ce texte a été dicté avec le logiciel de reconnaissance vocale

Si on casse les 250 on devrait avoir une accélération jusqu'au plus haut de la semaine précédentente A voir si on va le casser ou pas


Il semble super efficace le logiciel de reconnaissance vocale

début d odeur de coucher de bébé

un petit déballage en vidéo pour nous faire saliver

Une baisse de 100 points sur le nasdaq me semble probable, donc retour à 13100/130 sur cfd à risque limité

Worp

On shorte à 13100
C'est parti

j'ai pris mon cshort cinq minutes trop tôt, c'est bien dommage

pas vraiment le temps scopie, désolé