h**p://traders-mag.fr/ebook/2013/04/index.html#/36/zoomed
je colle le texte tout de suite .
je colle le texte tout de suite .
Cet ancien professeur d‘histoire, passionné par les chiffres, a façonné sa
stratégie de trading progressivement en se frottant aux marchés. De cette
expérience découle une forme de sagesse face aux aléas de la profession. Ce
day et swing trader nous parle de sa stratégie et de sa vision du métier
racontez-nous vos débuts dans le
trading?
J’ai commencé à 20 ans à trader les actions en écoutant
Jean-Pierre Gaillard sur France Info. J’étais étudiant
à l’époque et n’avais pas beaucoup de temps pour
trader. Donc il m’arrivait de sortir de cours subitement
pour aller vite passer un ordre sur un minitel. Au plus
loin que je me rappelle, j’ai toujours eu une fascination
pour les chiffres. Cette fascination m’est restée et peut
parfois être obsessionnelle !
comment tradiez-vous à l’époque ?
J’ai eu des comptes titres chez des brokers. Il m’a fallu
plusieurs années pour devenir un trader efficace. A
l’époque, étant étudiant, je cherchais surtout à gagner
de l’argent rapidement. Je prenais beaucoup de risque
avec des leviers importants, comme sur le Monep. J’ai
aussi essayé divers produits financiers comme les click-
options, les warrants et les turbos. J’ai tradé de cette
façon très risquée et sans réelle stratégie pendant
environ 4-5 ans.
́ : Aviez-vous recours à la presse
économique et financière ou à des livres pour
vous aider?
Absolument pas. Je ne faisais pas vraiment confiance
à la presse économique. Tout le monde y a accès.
Donc pour trouver une information pertinente il faut
aller à la source. Je faisais des enquêtes sur les valeurs
Peugeot et renault en appelant les concessionnaires
directement. Je leur demandais quand je pourrais
avoir le nouveau modèle et en fonction de leur délai
de livraison, j’avais une idée de leur niveau de ventes.
Ça marchait très bien. Aujourd’hui ce n’est plus
possible d’avoir ce genre d’information qualitative et
pertinente.
omment procédez-vous aujourd’hui
alors ?
Maintenant je suis quelques personnes ciblées de
grandes sociétés sur les réseaux sociaux afin de savoir
ce qu’ils font, s’ils partent à l’étranger, pourquoi, s’ils
sont en burn-out,... Avoir accès aux profils personnels
de certaines personnes bien ciblées peut être très
intéressant. Je me suis créé un logiciel qui analyse par
mot-clé mes recherches. Chaque matin, je regarde les
messages pertinents en fonction de la sélection de
mon logiciel. Ces informations peuvent se transformer
en opportunité de trading. Je peux en faire 2 à 3 par
an, grâce à cette méthode. Lorsque j’ai une bonne info
et qu’elle me parait sûre, je prends du levier, ce qui
peut faire une belle opération.
́ : Avez-vous également recours à
l’analyse technique ?
Cela représente l’essentiel de mon activité. 98% de
mon trading est du scalping.
quelle est votre stratégie en
scalping ?
J’ai une stratégie de trading assez simple. Pour autant,
il m’a fallu environ 2 à 3 ans pour l’affiner et avoir un
taux de réussite de 85%. Il m’ait déjà arrivé d’enchainer
67 scalps gagnants et de perdre sur le 68ème. Je trade
es indices, le CAC40 et le DAX30. Je trade surtout
l’après-midi. Ma journée de trading commence vers
09h15, de 09h à 09h15 je regarde ce qu’il se passe.
J’aime beaucoup trader vers midi car il y a de bonnes
tendances de fond entre midi et 13h. On a de fortes
probabilités de rejoindre des points pivots (journaliers
et hebdomadaires), des supports et des résistances
durant ce créneau horaire. Cela est le fruit de mon
observation.
quels indicateurs privilégiez-vous ?
J’utilise les points pivots journaliers, hebdomadaires
pour le scalping et mensuels pour le swing, ainsi
que le rsi, et c’est tout. Avant il m’est arrivé d’utiliser
plusieurs indicateurs, aujourd’hui je n’utilise plus
que ces deux-là, ce qui est largement suffisant.
Moins j’ai d’instruments, plus je suis dans la lecture
du prix.
quel est votre horizon de temps ?
Je fais du scalping sur quelques minutes, voire
quelques secondes. En fait, je vais jouer le rebond
sur un support, en me positionnant quelques points
en-dessous. Mon but est la réintégration à l’approche
du support. Par exemple, si on a un support à 3780
sur le CAC40, je positionnerais un ordre à 3776 dans
l’espoir que le support soit légèrement cassé vers
3778-3779.
définissez-vous des stops ?
Dans cet exemple, j’aurais défini mon stop à 3772. Si
je veux un taux de profit à 2 points, je peux prendre
Je ne vous cacherai pas que ça m'a fichu un sacré coup au moral de me voir si gros... mais bon c'est la triste et dure réalité. Je ne pensais pas que je ressemblais à un hamster. 
Mon dieu , quelle horreur 
=> Je ne te dis pas le succès auprès de ces blondes 
=> redescendu à 71kg lors de mes gros tracas concernant la santé de mes deux femmes et puis remonté à 84/88 kg => Mon poids de forme 
