Pas facile en ce moment. Je trouve. J'ai choisis, comme la première fois, une période bien complexe pour revenir sur le marché...
Une partie de mes positions short ont sauté. Les positions longues se portent bien (logiquement). Peut-être aviez-vous raison tous les deux. Bien que le trend long terme ne soit pas, en soi, remis en cause.
Pas facile en ce moment. Je trouve. J'ai choisis, comme la première fois, une période bien complexe pour revenir sur le marché...
Pas facile en ce moment. Je trouve. J'ai choisis, comme la première fois, une période bien complexe pour revenir sur le marché...
À l'échelle mondiale, la tendance demeure baissière.
Les signes haussiers se renforcent toutefois (oui, je ne suis pas autiste
), mais il en faudra un peu plus pour que l'on puisse parler d'un changement de tendance. Sur l'indice Stoxx Europe 600, on peut déterminer un point d'inflexion assez clair: cette semaine l'indice a évolué, en hausse, en direction de la confluence de la MM50hebdo, de l'oblique haussière sur laquelle l'indice a déjà échoué plusieurs fois, de l'oblique baissière qui coiffe encore l'indice. La capacité à dépasser cette zone marquera - si elle se produit - un vrai changement de tendance du marché.
En ce qui me concerne, quelques positions short ont sauté (Groupe FNAC, SCOR), d'autres, mieux orientées dans leur tendance baissière, continuent leur chemin (Parrot fonctionne bien, Nokia est plus difficile à gérer). J'ai également quelques positions haussières qui se passent pas trop mal, sur des secteurs qui jusqu'à maintenant ont bien résisté. En particulier, Ubisoft, Chargeurs. Comme d'habitude, j'ai travaillé sur des breakouts.
Enfin, je continue de travailler sur mon miniportefeuille CMC. Si la semaine dernière j'avais engrangé une petite hausse supplémentaire, pendant cette semaine je me suis planté à répétotoon. Ce n'est pas bien grave, les pertes sont minimes (et c'était le but). Ça m'a donné l'occasion de mieux circonscrire ce que je veux faire. Je ne peux pas travailler sur n'importe quel actif, sur n'importe quelle UT (oui, je sais, ça va de soi, mais on n'en prend vraiment conscience qu'en faisant quelques erreurs).
Je me limiterai à de l'UT hourly, du UT10m pour certains trades de continuation. Je laisse de côté le Forex sur lequel il me faudrait faire un travail particulier pour parvenir à apprivoiser. Ma préférence va sur les matières premières. J'ai pu faire une belle opération short sur le palladium, dont je suis malheureusement sorti trop tôt.
Mot d'ordre: de la rigueur.
Les signes haussiers se renforcent toutefois (oui, je ne suis pas autiste

En ce qui me concerne, quelques positions short ont sauté (Groupe FNAC, SCOR), d'autres, mieux orientées dans leur tendance baissière, continuent leur chemin (Parrot fonctionne bien, Nokia est plus difficile à gérer). J'ai également quelques positions haussières qui se passent pas trop mal, sur des secteurs qui jusqu'à maintenant ont bien résisté. En particulier, Ubisoft, Chargeurs. Comme d'habitude, j'ai travaillé sur des breakouts.
Enfin, je continue de travailler sur mon miniportefeuille CMC. Si la semaine dernière j'avais engrangé une petite hausse supplémentaire, pendant cette semaine je me suis planté à répétotoon. Ce n'est pas bien grave, les pertes sont minimes (et c'était le but). Ça m'a donné l'occasion de mieux circonscrire ce que je veux faire. Je ne peux pas travailler sur n'importe quel actif, sur n'importe quelle UT (oui, je sais, ça va de soi, mais on n'en prend vraiment conscience qu'en faisant quelques erreurs).
Je me limiterai à de l'UT hourly, du UT10m pour certains trades de continuation. Je laisse de côté le Forex sur lequel il me faudrait faire un travail particulier pour parvenir à apprivoiser. Ma préférence va sur les matières premières. J'ai pu faire une belle opération short sur le palladium, dont je suis malheureusement sorti trop tôt.
Mot d'ordre: de la rigueur.
Ordre d'entrée stoplimit prêt. Entrée prévue sur franchissement de 24.55, limite max 24.70. Stoploss à 23.20. Suivi de la position à l'aide de la MM50 journalière.
Depuis très longtemps, j'avais eu envie de tenter de faire du trading sur du très court terme (swing, ut hourly, et assimilés). Voyant les cours défiler chaque jour sur les graphiques, j'avais l'impression que je m'amuserais comme un fou. Que les progressions que je pouvais voir sur une action en plusieurs semaines, je pourrais les voir en quelques heures. C'était évidemment un fantasme.
Pendant très longtemps, je me le suis interdit, considérant que le trading est d'autant plus difficile qu'il se joue sur le CT. Pourtant, ça me grattait. Ça me démangeait d'essayer. Finalement, récemment, j'ai essayé. J'en ai parlé ici. J'ai assumé de tenter vraiment, avec un compte dédié, avec une stratégie, avec tout ce qui va avec.
Ça m'a fait du bien. Ça m'a permis de comprendre que ce n'est probablement pas pour moi.
Ça prend trop de temps. Ça prend trop la tête. Depuis que j'ai commencé, j'ai l'impression que je ne peux plus décrocher mon esprit des positions en cours. De plus, ça fait trop à gérer. Des actions long terme, des actions court terme, des matières premières en ut hourly. Impression de passer tout mon temps à surveiller la situation. Ça use. Ça gave.
Quand j'ai commencé la bourse j'ai décidé que je le ferais d'une manière qui soit un aspect accessoire de ma vie. Le but n'a jamais été de faire du trading activement. J'ai une vie, un travail, des amis à voir, des activités à faire. Je n'ai jamais voulu que le trading déborde sur tout ça. Le but, de toute manière, n'a jamais été de m'enrichir rapidement. Je suis dans une perspective d'investissement long terme (même si des positions ne sont pas sur le long terme). Un portefeuille, avec un capital qui augmente progressivement par de petits apports personnels, et un travail sur des stratégies de position sur actions, qui fassent peu à peu entrer ce portefeuille dans une dynamique de progression. Rien de plus.
Et mine de rien, déjà ça, c'est déjà pas mal. Ça prend déjà pas mal de temps et d'énergie. Je ne le regrette pas. J'aime le trading. Je trouve la bourse, la finance, l'économie, passionnants à suivre. Mais je crois que je ne peux pas dépasser ce stade. Faute de quoi, je n'ai plus de vie, je néglige tout le reste. D'ailleurs, je ne sais pas comment font ceux d'ici qui travaillent sur le très court terme, voir l'intraday. J'admire ceux qui ont la capacité d'en faire, tout en restant détaché et ne pas laisser cette activité déborder dans leur vie. Perso, je crois que je n'en suis pas capable.
Bref, cette expérience a tué un fantasme. J'y reviendrai peut-être de manière plus limitée et circonscrite, mais je ne suis pas pressé. Et pas dans un futur proche, ça c'est sur.
De toute manière, j'ai déjà beaucoup de chantiers sur les actions. Et en plus, je crois que je commence à m'en sortir de mieux en mieux.
Pendant très longtemps, je me le suis interdit, considérant que le trading est d'autant plus difficile qu'il se joue sur le CT. Pourtant, ça me grattait. Ça me démangeait d'essayer. Finalement, récemment, j'ai essayé. J'en ai parlé ici. J'ai assumé de tenter vraiment, avec un compte dédié, avec une stratégie, avec tout ce qui va avec.
Ça m'a fait du bien. Ça m'a permis de comprendre que ce n'est probablement pas pour moi.
Ça prend trop de temps. Ça prend trop la tête. Depuis que j'ai commencé, j'ai l'impression que je ne peux plus décrocher mon esprit des positions en cours. De plus, ça fait trop à gérer. Des actions long terme, des actions court terme, des matières premières en ut hourly. Impression de passer tout mon temps à surveiller la situation. Ça use. Ça gave.
Quand j'ai commencé la bourse j'ai décidé que je le ferais d'une manière qui soit un aspect accessoire de ma vie. Le but n'a jamais été de faire du trading activement. J'ai une vie, un travail, des amis à voir, des activités à faire. Je n'ai jamais voulu que le trading déborde sur tout ça. Le but, de toute manière, n'a jamais été de m'enrichir rapidement. Je suis dans une perspective d'investissement long terme (même si des positions ne sont pas sur le long terme). Un portefeuille, avec un capital qui augmente progressivement par de petits apports personnels, et un travail sur des stratégies de position sur actions, qui fassent peu à peu entrer ce portefeuille dans une dynamique de progression. Rien de plus.
Et mine de rien, déjà ça, c'est déjà pas mal. Ça prend déjà pas mal de temps et d'énergie. Je ne le regrette pas. J'aime le trading. Je trouve la bourse, la finance, l'économie, passionnants à suivre. Mais je crois que je ne peux pas dépasser ce stade. Faute de quoi, je n'ai plus de vie, je néglige tout le reste. D'ailleurs, je ne sais pas comment font ceux d'ici qui travaillent sur le très court terme, voir l'intraday. J'admire ceux qui ont la capacité d'en faire, tout en restant détaché et ne pas laisser cette activité déborder dans leur vie. Perso, je crois que je n'en suis pas capable.
Bref, cette expérience a tué un fantasme. J'y reviendrai peut-être de manière plus limitée et circonscrite, mais je ne suis pas pressé. Et pas dans un futur proche, ça c'est sur.
De toute manière, j'ai déjà beaucoup de chantiers sur les actions. Et en plus, je crois que je commence à m'en sortir de mieux en mieux.
C'est bien d'avoir essayé et d'avoir été jusqu'au bout de ton idée, Kero
Comme dit l'adage, "il vaut mieux avoir des regrets que des remords"

Comme dit l'adage, "il vaut mieux avoir des regrets que des remords"

Reminder: lorsque mon étude des indices mondiaux me dit que le marché est bear, ne pas oublier que le marché est bear.
Surtout, ne rien écouter d'autre.
Des fois, on se surprend à devoir se forcer à se faire confiance à soi-même plutôt qu'à ce qu'on entend partout et qui nous amène à douter. Par la même occasion, on découvre qu'on n'est pas complètement à côté de la plaque.
C'est une bonne option pour l'avenir.
Surtout, ne rien écouter d'autre.
Des fois, on se surprend à devoir se forcer à se faire confiance à soi-même plutôt qu'à ce qu'on entend partout et qui nous amène à douter. Par la même occasion, on découvre qu'on n'est pas complètement à côté de la plaque.
C'est une bonne option pour l'avenir.
le marché est bear depuis 2 ans on a perdu -25%
Je sais que le market est bear, mais à force d'écouter des avis contraires (sur les USA, sur le CAC qui ne pouvait/devait pas baisser davantage, etc.), j'ai fini par ne pas croire en ma propre analyse. Du coup, imperceptiblement, mes positions ont en tendance à virer d'une majorité de short à une majorité de longs.
Ce n'est pas très grave, en réalité. Avancer dans la trading, c'est sans doute aussi apprendre à faire confiance aux méthodes qu'on a développé.
Ce n'est pas très grave, en réalité. Avancer dans la trading, c'est sans doute aussi apprendre à faire confiance aux méthodes qu'on a développé.
Je m'aperçois de quelques realia boursières.
1/ C'est impressionnant comme il est facile de faire n'importe quoi, sous le coup de l'excitation d'un possible trade.
2/ C'est impressionnant à quel point le fait de faire n'importe quoi une fois suffit à ruiner les efforts mis pour construire une stratégie efficace. Le vendredi après-midi, typiquement, je fais n'importe quoi. Je devrais m'interdire de regarder le marché.
3/ Je crois que la learning curve en matière boursière est centrée sur ces constatations 1 et 2. Au début on fait n'importe quoi, mais ce n'est pas grave. De toute manière on n'est pas très bon. Puis on commence à réussir des trades. Et alors, on supporte nettement plus mal le trade de trop, raté, qui flingue la progression de la semaine dernière. Au final, cette learning curve, c'est surtout un processus consistant à isoler l'acte réfléchi de l'acte idiot, afin que le premier devienne dominant au détriment du second... Au point qu'idéalement il disparaisse.
La semaine dernière j'ai refait une bêtise que je m'étais promis de ne pas refaire: anticiper un breakout. M'en suis mordu les doigts. On ne m'y reprendra plus.
1/ C'est impressionnant comme il est facile de faire n'importe quoi, sous le coup de l'excitation d'un possible trade.
2/ C'est impressionnant à quel point le fait de faire n'importe quoi une fois suffit à ruiner les efforts mis pour construire une stratégie efficace. Le vendredi après-midi, typiquement, je fais n'importe quoi. Je devrais m'interdire de regarder le marché.
3/ Je crois que la learning curve en matière boursière est centrée sur ces constatations 1 et 2. Au début on fait n'importe quoi, mais ce n'est pas grave. De toute manière on n'est pas très bon. Puis on commence à réussir des trades. Et alors, on supporte nettement plus mal le trade de trop, raté, qui flingue la progression de la semaine dernière. Au final, cette learning curve, c'est surtout un processus consistant à isoler l'acte réfléchi de l'acte idiot, afin que le premier devienne dominant au détriment du second... Au point qu'idéalement il disparaisse.
La semaine dernière j'ai refait une bêtise que je m'étais promis de ne pas refaire: anticiper un breakout. M'en suis mordu les doigts. On ne m'y reprendra plus.
Ok. J'ai appris ma leçon. Je serai 100% liquide la prochaine fois. Pas juste faiblement exposé. Vraiment 100% liquide.
Heureusement que les quelques positions shorts qui restent en place équilibrent en partie les pertes.
Heureusement que les quelques positions shorts qui restent en place équilibrent en partie les pertes.
Depuis hier, j'entends des commentaires qui se veulent rassurants, à propos de ce qu'il s'est passé vendredi. Boursièrement parlant, je veux dire. Des commentaires dont le sens est un peu du type "Oui, la chute a été brutale, mais pas si catastrophique que ça. Après tout, on n'a fait que corriger la forte hausse de la semaine." Ou du genre "Oui, forte chute. Mais C'est un trou d'air qui ne repose pas sur des fondements économiques. En fait, c'est un point d'entrée intéressant pour revenir haussier." Parfois, derrière tout cela, je sens un peu la fanfaronnade de celui qui a besoin de faire croire qu'il n'est pas impressionné et qu'il en a vu d'autres.
Moi, j'en ai pas vu des masses, mais j'en ai vu d'autres aussi. En particulier, la crise de 2007-2009. J'étais aux premières loges, shortant les bancaires.
La chute boursière de vendredi - le krach, devrait-on dire tout simplement - est en réalité extrêmement violent. Il faut remonter à octobre 2008 - l'affaire Lehman - pour trouver une journée plus violente, aussi bien en termes de baisse que de volumes. Sur une vingtaine d'années, des journées comme celle-là se comptent sur les doigts d'une main.
Alors oui, on est (a priori) pas sur une crise systémique financière comme celle de cette époque. Il n'empêche. Je pense qu'on est loin de mesurer encore tous les impacts possibles de l'événement. Car cette accélération baissière vient à la fois confirmer et renforcer une tendance baissière qui était déjà bien installée. Une tendance baissière en bourse, c'est un machin qui s'auto-entretient. Oui, il n'y a peut-être pas de raisons fondamentales à un dévissage des indices, mais je le fait que les indices dévissent crée - en soi-même - les conditions de la potentielle baisse à venir. De ce point de vue, les journées d'août 2015 avait déjà fait beaucoup de mal. Elles ont instillé une peur, un doute, qui ne s'est pas résorbé depuis. On est toujours dans la dynamique qui a été lancée alors.
Et quand on voit les graphiques des bancaires, on ne peut s'empêcher de se dire que là, ce n'est pas rien, quand même. Quelque chose casse.
Les indices américains ont la mauvaise habitude de monter/continuer à monter/essayer de continuer à monter pendant plus longtemps que d'autres indices mondiaux. C'est pour ça que Stan Weinstein - dont le centre d'intérêt était le marché US - considérait que l'étude des indices européens et de leur tendance était un moyen utile de prédire une chute à venir des indices américains. En 2008, ça n'a pas raté. Les indices européens commençaient à construire une dynamique baissière (cf. la magnifique ete du CAC) alors que le SP500 tentait de se lancer dans un nouveau rally haussier en dépassant les plus hauts historiques. Mais ça n'a duré que quelques jours. Très peu de temps après cette tentative, les indices US se sont effondrés avec le reste du monde. Curieusement, on a une dynamique qui se rapproche de tout ça, actuellement.
Curieusment - dernière curiosité - depuis le brexit, les indices US semblent montrer presque plus de faiblesse que les indices européens. Aujourd'hui, ils sont partis vers le bas bien tous seuls.
À suivre...
Moi, j'en ai pas vu des masses, mais j'en ai vu d'autres aussi. En particulier, la crise de 2007-2009. J'étais aux premières loges, shortant les bancaires.
La chute boursière de vendredi - le krach, devrait-on dire tout simplement - est en réalité extrêmement violent. Il faut remonter à octobre 2008 - l'affaire Lehman - pour trouver une journée plus violente, aussi bien en termes de baisse que de volumes. Sur une vingtaine d'années, des journées comme celle-là se comptent sur les doigts d'une main.
Alors oui, on est (a priori) pas sur une crise systémique financière comme celle de cette époque. Il n'empêche. Je pense qu'on est loin de mesurer encore tous les impacts possibles de l'événement. Car cette accélération baissière vient à la fois confirmer et renforcer une tendance baissière qui était déjà bien installée. Une tendance baissière en bourse, c'est un machin qui s'auto-entretient. Oui, il n'y a peut-être pas de raisons fondamentales à un dévissage des indices, mais je le fait que les indices dévissent crée - en soi-même - les conditions de la potentielle baisse à venir. De ce point de vue, les journées d'août 2015 avait déjà fait beaucoup de mal. Elles ont instillé une peur, un doute, qui ne s'est pas résorbé depuis. On est toujours dans la dynamique qui a été lancée alors.
Et quand on voit les graphiques des bancaires, on ne peut s'empêcher de se dire que là, ce n'est pas rien, quand même. Quelque chose casse.
Les indices américains ont la mauvaise habitude de monter/continuer à monter/essayer de continuer à monter pendant plus longtemps que d'autres indices mondiaux. C'est pour ça que Stan Weinstein - dont le centre d'intérêt était le marché US - considérait que l'étude des indices européens et de leur tendance était un moyen utile de prédire une chute à venir des indices américains. En 2008, ça n'a pas raté. Les indices européens commençaient à construire une dynamique baissière (cf. la magnifique ete du CAC) alors que le SP500 tentait de se lancer dans un nouveau rally haussier en dépassant les plus hauts historiques. Mais ça n'a duré que quelques jours. Très peu de temps après cette tentative, les indices US se sont effondrés avec le reste du monde. Curieusement, on a une dynamique qui se rapproche de tout ça, actuellement.
Curieusment - dernière curiosité - depuis le brexit, les indices US semblent montrer presque plus de faiblesse que les indices européens. Aujourd'hui, ils sont partis vers le bas bien tous seuls.
À suivre...
Je remarque une corrélation intéressante.
La qualité de mon MM est directement proportionnelle et corrélée à la taille/complexité de la feuille Excel que j'utilise pour comptabiliser les positions, déterminer le risque maximummum, la taille des positions, et ainsi de suite.
La qualité de mon MM est directement proportionnelle et corrélée à la taille/complexité de la feuille Excel que j'utilise pour comptabiliser les positions, déterminer le risque maximummum, la taille des positions, et ainsi de suite.
Suis-je le seul à la voir ?
Oui, c'est ce qui m'a dissuadé d'ouvrir une position longue sur assurance-vie / pea car le rendement risque n'est du coup pas terrible. Pour autant la dernière Bougie hebdo est bien bullish. Les banques centrales ont donnée des gages de continuer à arroser cette semaine, et la FED semble vouloir mette en suspend sa normalisation. On commencerait plutôt à mentionner un QE4... Donc méfiance dans les deux sens. Si la zone de résistance que tu as entourée est cassée là on pourra vraiment reparler d'une tendance bullish.
Je sais bien qu'une ETE ou ETEI ne doit jamais être anticipée. Et je ne me positionne pas en vue d'une éventuelle cassure. J'ai même du mal à croire qu'on puisse franchir sa tête de cou et atteindre l'objectif qui pourrait alors être reporté.
Maintenant, au-delà de cette ETE, de mon point de vue le bear trend, du moins sur l'Europe, est déjà bien en place depuis bon moment. On est sous les moyennes mobiles longues, qui sont descendantes. On le voit aussi bien sur les indices européens que mondiaux, à l'exception près des US. Les émergents sont peut-être en train de sortir la tête de l'eau, mais ça demeure à confirmer.
Après, bien que la tendance soit baissière, je fais très attention en short (et j'évite d'en rajouter) car on a, malgré tout, des signaux contradictoires. Pour le côté long, en revanche, je ne commencerai pas à me positionner avant que l'on franchisse à la hausse la MM50 hebdo.
Maintenant, au-delà de cette ETE, de mon point de vue le bear trend, du moins sur l'Europe, est déjà bien en place depuis bon moment. On est sous les moyennes mobiles longues, qui sont descendantes. On le voit aussi bien sur les indices européens que mondiaux, à l'exception près des US. Les émergents sont peut-être en train de sortir la tête de l'eau, mais ça demeure à confirmer.
Après, bien que la tendance soit baissière, je fais très attention en short (et j'évite d'en rajouter) car on a, malgré tout, des signaux contradictoires. Pour le côté long, en revanche, je ne commencerai pas à me positionner avant que l'on franchisse à la hausse la MM50 hebdo.
http://www.zerohedge.com/news/2016-07-09/charting-epic-collapse-worlds-most-systemically-dangerous-bank
Le Bund...
En voilà une analyse concise
Peux-tu préciser ta pensée ?

Il existe une bulle gigantesque sur l'obligataire. Qui se construit depuis un bon moment. Et soutenue actuellement par les achats de la BCE.
Le passage des taux allemands en territoire négatif en est une conséquence.
Je surveille de près ce qu'il se passe sur l'obligataire. Sachant que si la bulle saute, ça pourrait faire mal, par effet domino.
Je signalais le bund car il s'apprêtait à casser un niveau important, dand le cadre de sa hausse récente.
Après, ça pourrait durer encore des années. Comme toute bulle.
Le passage des taux allemands en territoire négatif en est une conséquence.
Je surveille de près ce qu'il se passe sur l'obligataire. Sachant que si la bulle saute, ça pourrait faire mal, par effet domino.
Je signalais le bund car il s'apprêtait à casser un niveau important, dand le cadre de sa hausse récente.
Après, ça pourrait durer encore des années. Comme toute bulle.
Entrée: 8.31 (avec un ordre stoplimite, limite à 8.50)
Stoploss: 7.49 (à remonter ensuite sous chaque retracement qui vient caresser la MM20 daily).
Attention toutefois: le marché européen demeure indécis, plus bear que bull. L'avantage sur ce titre c'est qu'il semble être relativement peu corrélé au marché. À noter: le secteur Santé est positif. À noter aussi: volumes en augmentation sur la hausse des derniers jours.
Je dois encore me décider définitivement mais j'entrerai probablement la semaine prochaine.
Sinon, une autre configuration intéressante:
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