C'est plutôt reposant je trouve, on a pas 50 000 questions à se poser
On vient de rebondir sur les 38 de fibonacci et on avait une magnifique entrée façon Wu Wei, je m'entraine à les repérer quand je peux pas les prendre
Moi je suis mon plan c'est tout, si il se réalise tant mieux sinon tant pis :
C'est plutôt reposant je trouve, on a pas 50 000 questions à se poser
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C'est plutôt reposant je trouve, on a pas 50 000 questions à se poser
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Bonjour Wu Wei,
Merci pour le partage.
Pourquoi avoir shorté à ce moment précis ?
UT15 : rsi > 50, TMA < 50
UT2 : rsi et TMA > 50
Donc pas de signal de ces cotés là...
Réintégration de l'OPR suffisante malgré cassure des plus hauts précédents ?
Suite à la baisse, on vient de remonter largement par la suite...
Merci pour le partage.
Pourquoi avoir shorté à ce moment précis ?
UT15 : rsi > 50, TMA < 50
UT2 : rsi et TMA > 50
Donc pas de signal de ces cotés là...
Réintégration de l'OPR suffisante malgré cassure des plus hauts précédents ?
Suite à la baisse, on vient de remonter largement par la suite...
+25 points depuis 15h30, une heure pour 25 points ça montre que ça aramé pour moi
je vais faire une pause et retourner à l'administratif.
je vais faire une pause et retourner à l'administratif.
Pour aujourd'hui la cassure du bas de jeudi serait déjà superbe pour aller roder alentours de 750
scalp86, de temps à autre ça peut être intéressant
scalp86, de temps à autre ça peut être intéressant
"Présentez arme, en joue... Repos" L'ennemi a pris peur et il a reculé, on reste en attente pour les 30 prochaines minutes.
Presque pareil Benoist, 21 pts mais pas aussi chargé 
1 euro le point :roll:
1 euro le point :roll:
dans 23 minute Réunions du FMI
bien ennuyeux pour le moment
Le nq a abandonné la hausse tout le monde laisse baisser
Par Hannah Lang
(Reuters) – Le Fonds monétaire international a mis en garde mardi contre une "combinaison périlleuse de vulnérabilités" sur les marchés financiers, affirmant que l'incapacité des participants à se préparer adéquatement aux hausses de taux d'intérêt a entraîné une incertitude importante quant à la santé du système financier.
De plus, le prêteur mondial a déclaré que les banques régionales américaines en particulier pourraient justifier un examen plus approfondi après que la plus grande banque s'est effondrée depuis la crise financière de 2007-2009 il y a quatre semaines et a révélé les faiblesses d'un secteur responsable d'une part importante du crédit aux consommateurs et aux entreprises dans la plus grande économie du monde. .
Dans son dernier rapport sur la stabilité financière mondiale, le FMI a déclaré que les risques pour la stabilité financière mondiale avaient augmenté "rapidement" au cours des six mois écoulés depuis sa précédente évaluation, alors qu'il vantait déjà les risques comme étant "considérablement biaisés" à la baisse.
Aujourd'hui, après les faillites soudaines du mois dernier de la Silicon Valley Bank et de la Signature Bank (OTC : SBNY ) aux États-Unis, ainsi que la perte de confiance dans le Credit Suisse qui a forcé les régulateurs à organiser une prise de contrôle par UBS, le FMI a déclaré que « le sentiment du marché reste fragile et des tensions sont toujours présentes dans un certain nombre d'institutions et de marchés."
"Même si vous pensez qu'en moyenne, les banques ont beaucoup de capital et de liquidités, il pourrait y avoir ces institutions faibles qui se répercutent ensuite sur l'ensemble du système", a déclaré Tobias Adrian, directeur du Département des marchés monétaires et de capitaux du FMI, dans une interview.
Le rapport, accompagné d'une mise à jour des Perspectives de l'économie mondiale qui a signalé bon nombre des mêmes risques, intervient environ un an après que la Réserve fédérale américaine s'est engagée dans la voie la plus agressive de hausse des taux d'intérêt en quatre décennies, entraînant d'autres banques centrales dans une politique mondiale synchronisée. resserrement visant à réduire l'inflation.
Le FMI a déclaré que les faillites bancaires "ont été un puissant rappel" des défis posés par une Politique monétaire plus stricte - et les conditions financières plus strictes qu'elle a générées - et l'accumulation de vulnérabilités depuis la crise financière mondiale il y a plus de dix ans.
"ÉVIDENT AVEC LE RÉTROSPECTIVE"
Même avant les récentes turbulences dans le secteur bancaire, il y avait des asymétries d'échéances et un levier financier qui existaient tranquillement sous la surface depuis des années, note le rapport, soulignant les achats temporaires de la Banque d'Angleterre pour stabiliser son marché obligataire intérieur et la réactivation des actifs par les autorités coréennes. l'automne dernier, des programmes d'achat pour faire face aux tensions sur le marché du papier commercial adossé à des actifs étaient des signes de difficultés.
"Bien que les risques soient évidents avec le recul, les implications systémiques des faiblesses existantes ont été largement imprévues par les décideurs politiques et les investisseurs", indique le rapport.
Bien que les réponses énergiques des décideurs politiques aient réduit l'anxiété du marché, il reste à voir si les événements récents sont un « signe avant-coureur d'un stress plus systémique », a déclaré le FMI, notant que les expositions ou les pertes peuvent être masquées par des règles comptables ou des traitements réglementaires.
Les problèmes des banques régionales américaines se sont aggravés l'année dernière, car la hausse rapide des taux d'intérêt a réduit la valeur des avoirs de certaines banques en actifs à long terme tels que les prêts immobiliers et les obligations d'État.
Les problèmes sous-jacents ont explosé le mois dernier lorsque les actions de SVB ont plongé et que les déposants ont fui après avoir surpris le marché le 8 mars avec des plans de levée de capitaux pour combler un trou de près de 2 milliards de dollars provenant de la vente de titres. Les régulateurs ont fermé la banque deux jours plus tard, et Signature a été fermée deux jours plus tard.
À l'avenir, les banques régionales pourraient faire l'objet d'un examen plus approfondi en ce qui concerne leurs avoirs et leurs structures de financement, a averti le FMI.
"Parce que les banques régionales et plus petites aux États-Unis représentent plus d'un tiers du total des prêts bancaires, une réduction de l'offre de crédit pourrait avoir un impact significatif sur la croissance économique et la stabilité financière", indique le rapport.
RENFORCER LA "CONFIANCE"
Les régulateurs américains ont agi rapidement pour soutenir tous les dépôts auprès de SVB et de Signature Bank, même ceux au-delà de la limite de la Federal Deposit Insurance Corp, stabilisant les sorties de dépôts chez les petits prêteurs.
Même encore, les autorités devraient être mieux préparées à faire face à l'instabilité financière, a recommandé le FMI, notamment en renforçant leurs régimes de résolution bancaire.
"La communauté internationale devra faire le bilan de ces expériences et tirer des conclusions politiques sur l'efficacité des réformes de résolution après la crise financière mondiale", indique le rapport.
Adrian a ajouté que le FMI surveillera "de très près" pour voir si "les banques centrales ont les outils pour s'assurer que la confiance reste dans le système".
Alors que les ménages et les entreprises ont accumulé des coussins pendant la pandémie qui ont renforcé leur capacité d'absorption des chocs, ces coussins se sont détériorés à mesure que les taux d'intérêt ont augmenté, a déclaré le FMI, les rendant "plus vulnérables au risque de défaut".
Une baisse des revenus et des conditions de financement plus strictes des banques pourraient exposer les grandes entreprises à des risques de déclassement, en particulier pour les grandes entreprises des marchés émergents, selon le rapport.
Ailleurs, le FMI a souligné plusieurs autres sources de risque macroéconomique potentiel, notamment une forte réouverture en Chine et une escalade de la guerre de la Russie en Ukraine, qui pourraient exacerber une Inflation obstinément élevée.
"Ce sont vraiment ces queues plus faibles parmi les ménages, les entreprises et les pays qui pourraient alors avoir un impact global à un moment donné", a déclaré Adrian. "Pour le moment, nous ne voyons pas cela, mais comme le resserrement de la Politique monétaire se poursuit, il y a certainement un risque que cela se produise."
(Reuters) – Le Fonds monétaire international a mis en garde mardi contre une "combinaison périlleuse de vulnérabilités" sur les marchés financiers, affirmant que l'incapacité des participants à se préparer adéquatement aux hausses de taux d'intérêt a entraîné une incertitude importante quant à la santé du système financier.
De plus, le prêteur mondial a déclaré que les banques régionales américaines en particulier pourraient justifier un examen plus approfondi après que la plus grande banque s'est effondrée depuis la crise financière de 2007-2009 il y a quatre semaines et a révélé les faiblesses d'un secteur responsable d'une part importante du crédit aux consommateurs et aux entreprises dans la plus grande économie du monde. .
Dans son dernier rapport sur la stabilité financière mondiale, le FMI a déclaré que les risques pour la stabilité financière mondiale avaient augmenté "rapidement" au cours des six mois écoulés depuis sa précédente évaluation, alors qu'il vantait déjà les risques comme étant "considérablement biaisés" à la baisse.
Aujourd'hui, après les faillites soudaines du mois dernier de la Silicon Valley Bank et de la Signature Bank (OTC : SBNY ) aux États-Unis, ainsi que la perte de confiance dans le Credit Suisse qui a forcé les régulateurs à organiser une prise de contrôle par UBS, le FMI a déclaré que « le sentiment du marché reste fragile et des tensions sont toujours présentes dans un certain nombre d'institutions et de marchés."
"Même si vous pensez qu'en moyenne, les banques ont beaucoup de capital et de liquidités, il pourrait y avoir ces institutions faibles qui se répercutent ensuite sur l'ensemble du système", a déclaré Tobias Adrian, directeur du Département des marchés monétaires et de capitaux du FMI, dans une interview.
Le rapport, accompagné d'une mise à jour des Perspectives de l'économie mondiale qui a signalé bon nombre des mêmes risques, intervient environ un an après que la Réserve fédérale américaine s'est engagée dans la voie la plus agressive de hausse des taux d'intérêt en quatre décennies, entraînant d'autres banques centrales dans une politique mondiale synchronisée. resserrement visant à réduire l'inflation.
Le FMI a déclaré que les faillites bancaires "ont été un puissant rappel" des défis posés par une Politique monétaire plus stricte - et les conditions financières plus strictes qu'elle a générées - et l'accumulation de vulnérabilités depuis la crise financière mondiale il y a plus de dix ans.
"ÉVIDENT AVEC LE RÉTROSPECTIVE"
Même avant les récentes turbulences dans le secteur bancaire, il y avait des asymétries d'échéances et un levier financier qui existaient tranquillement sous la surface depuis des années, note le rapport, soulignant les achats temporaires de la Banque d'Angleterre pour stabiliser son marché obligataire intérieur et la réactivation des actifs par les autorités coréennes. l'automne dernier, des programmes d'achat pour faire face aux tensions sur le marché du papier commercial adossé à des actifs étaient des signes de difficultés.
"Bien que les risques soient évidents avec le recul, les implications systémiques des faiblesses existantes ont été largement imprévues par les décideurs politiques et les investisseurs", indique le rapport.
Bien que les réponses énergiques des décideurs politiques aient réduit l'anxiété du marché, il reste à voir si les événements récents sont un « signe avant-coureur d'un stress plus systémique », a déclaré le FMI, notant que les expositions ou les pertes peuvent être masquées par des règles comptables ou des traitements réglementaires.
Les problèmes des banques régionales américaines se sont aggravés l'année dernière, car la hausse rapide des taux d'intérêt a réduit la valeur des avoirs de certaines banques en actifs à long terme tels que les prêts immobiliers et les obligations d'État.
Les problèmes sous-jacents ont explosé le mois dernier lorsque les actions de SVB ont plongé et que les déposants ont fui après avoir surpris le marché le 8 mars avec des plans de levée de capitaux pour combler un trou de près de 2 milliards de dollars provenant de la vente de titres. Les régulateurs ont fermé la banque deux jours plus tard, et Signature a été fermée deux jours plus tard.
À l'avenir, les banques régionales pourraient faire l'objet d'un examen plus approfondi en ce qui concerne leurs avoirs et leurs structures de financement, a averti le FMI.
"Parce que les banques régionales et plus petites aux États-Unis représentent plus d'un tiers du total des prêts bancaires, une réduction de l'offre de crédit pourrait avoir un impact significatif sur la croissance économique et la stabilité financière", indique le rapport.
RENFORCER LA "CONFIANCE"
Les régulateurs américains ont agi rapidement pour soutenir tous les dépôts auprès de SVB et de Signature Bank, même ceux au-delà de la limite de la Federal Deposit Insurance Corp, stabilisant les sorties de dépôts chez les petits prêteurs.
Même encore, les autorités devraient être mieux préparées à faire face à l'instabilité financière, a recommandé le FMI, notamment en renforçant leurs régimes de résolution bancaire.
"La communauté internationale devra faire le bilan de ces expériences et tirer des conclusions politiques sur l'efficacité des réformes de résolution après la crise financière mondiale", indique le rapport.
Adrian a ajouté que le FMI surveillera "de très près" pour voir si "les banques centrales ont les outils pour s'assurer que la confiance reste dans le système".
Alors que les ménages et les entreprises ont accumulé des coussins pendant la pandémie qui ont renforcé leur capacité d'absorption des chocs, ces coussins se sont détériorés à mesure que les taux d'intérêt ont augmenté, a déclaré le FMI, les rendant "plus vulnérables au risque de défaut".
Une baisse des revenus et des conditions de financement plus strictes des banques pourraient exposer les grandes entreprises à des risques de déclassement, en particulier pour les grandes entreprises des marchés émergents, selon le rapport.
Ailleurs, le FMI a souligné plusieurs autres sources de risque macroéconomique potentiel, notamment une forte réouverture en Chine et une escalade de la guerre de la Russie en Ukraine, qui pourraient exacerber une Inflation obstinément élevée.
"Ce sont vraiment ces queues plus faibles parmi les ménages, les entreprises et les pays qui pourraient alors avoir un impact global à un moment donné", a déclaré Adrian. "Pour le moment, nous ne voyons pas cela, mais comme le resserrement de la Politique monétaire se poursuit, il y a certainement un risque que cela se produise."
Esprit, on va reprendre la main tkt, on vous fait croire à une baisse puis on va tous vous sortir 
(c'est le scénario qui m'arrangerait )
(c'est le scénario qui m'arrangerait
)vla 8 minute
De David Lawder
WASHINGTON (Reuters) – Le Fonds monétaire international a légèrement réduit mardi ses perspectives de croissance mondiale pour 2023, la hausse des taux d'intérêt refroidissant l'activité, mais a averti qu'une grave flambée de turbulences dans le système financier pourrait réduire la production à des niveaux proches de la récession.
Le FMI a déclaré dans son dernier rapport sur les perspectives de l'économie mondiale que les risques de contagion du système bancaire ont été contenus par des mesures politiques fortes après les faillites de deux banques régionales américaines et la fusion forcée du Credit Suisse. Mais la tourmente a ajouté une autre couche d'incertitude en plus de l'inflation obstinément élevée et des retombées de la guerre de la Russie en Ukraine.
"Avec la récente augmentation de la volatilité des marchés financiers, le brouillard autour des perspectives économiques mondiales s'est épaissi", a déclaré le FMI alors que lui-même et la Banque mondiale lancent leurs réunions de printemps cette semaine à Washington.
"L'incertitude est élevée et l'équilibre des risques s'est déplacé fermement vers le bas tant que le secteur financier reste instable", a ajouté le Fonds.
Le FMI prévoit désormais une croissance du pib réel mondial de 2,8 % pour 2023 et de 3,0 % pour 2024, marquant un net ralentissement par rapport à la croissance de 3,4 % en 2022 en raison du resserrement de la Politique monétaire.
Les prévisions pour 2023 et 2024 ont été revues à la baisse de 0,1 point de pourcentage par rapport aux estimations publiées en janvier, en partie en raison de performances plus faibles dans certaines grandes économies ainsi que des attentes d'un nouveau resserrement monétaire pour lutter contre l'inflation persistante.
Les perspectives américaines du FMI se sont légèrement améliorées, avec une croissance en 2023 prévue à 1,6 % contre 1,4 % prévu en janvier, les marchés du travail restant solides. Mais le Fonds a revu à la baisse ses prévisions pour certaines grandes économies, dont l'Allemagne, qui prévoit désormais une contraction de 0,1 % en 2023, et le Japon, qui prévoit désormais une croissance de 1,3 % cette année au lieu de 1,8 % prévu en janvier.
Le FMI a relevé sa prévision d'Inflation sous-jacente pour 2023 à 5,1 %, contre une prévision de 4,5 % en janvier, affirmant qu'elle n'avait pas encore culminé dans de nombreux pays malgré la baisse des prix de l'énergie et des denrées alimentaires.
"La Politique monétaire doit rester axée sur la stabilité des prix" pour maîtriser les anticipations d'Inflation, a déclaré l'économiste en chef du FMI, Pierre-Olivier Gourinchas, lors d'une conférence de presse.
Dans une interview à Reuters, Gourinchas a déclaré que les banques centrales ne devraient pas arrêter leur lutte contre l'inflation en raison des risques pour la stabilité financière, qui semblent "très contenus".
SCÉNARIOS DE TURBULENCES BANCAIRES
Alors qu'une crise bancaire majeure ne figurait pas dans la ligne de base du FMI, Gourinchas a déclaré qu'une détérioration significative des conditions financières pourrait se reproduire alors que les investisseurs nerveux tentent de tester le "prochain maillon faible" du système financier comme ils l'ont fait avec le Credit Suisse.
Le rapport comprenait deux analyses montrant que les turbulences financières ont des impacts modérés et graves sur la croissance mondiale.
Dans un scénario « plausible », les tensions sur les banques vulnérables - certaines comme la Silicon Valley Bank et la Signature Bank (OTC : SBNY ) en faillite, accablées par des pertes non réalisées en raison du resserrement de la Politique monétaire et dépendant de dépôts non assurés - créent une situation où « les conditions de financement pour tous banques se resserrent, en raison d'une plus grande inquiétude pour la solvabilité des banques et des expositions potentielles à travers le système financier", a déclaré le FMI.
Ce « resserrement modéré » des conditions financières pourrait réduire de 0,3 point de pourcentage la croissance mondiale pour 2023, la ramenant à 2,5 %.
Le Fonds a également inclus un scénario de baisse sévère avec des impacts beaucoup plus larges des risques de bilan bancaire, entraînant de fortes réductions des prêts aux États-Unis et dans d'autres économies avancées, un recul majeur des dépenses des ménages et une fuite des fonds d'investissement vers valeurs refuges libellées en dollars.
Les économies de marché émergentes seraient durement touchées par la baisse de la demande d'exportations, la dépréciation de la monnaie et une flambée de l'inflation.
Ce scénario, que Gourinchas a évalué à 15% de probabilité, pourrait réduire la croissance de 2023 de 1,8 point de pourcentage, la ramenant à 1,0% - un niveau qui implique une croissance du pib par habitant proche de zéro. L'impact négatif pourrait être d'environ un quart de l'impact récessif de la crise financière de 2008-2009.
D'autres risques à la baisse mis en évidence par le FMI comprennent une Inflation élevée persistante qui nécessite des hausses plus agressives des taux de la banque centrale, l'escalade de la guerre de la Russie en Ukraine et des revers dans la reprise de la Chine après le COVID-19, y compris une aggravation des difficultés dans son secteur immobilier.
RISQUE DU PRIX DU PÉTROLE
Les prévisions du FMI n'incluent pas l'impact d'une récente réduction de la production de pétrole par les pays de l'OPEP+ qui a provoqué une flambée des prix du pétrole. Il suppose un prix mondial moyen du pétrole de 73 dollars le baril en 2023 – bien en dessous du prix à terme du Brent de 84 dollars de lundi , mais Gourinchas a déclaré qu'il n'était pas clair si ce niveau pouvait être maintenu.
Pour chaque hausse de 10% du prix du pétrole, les modèles du FMI montrent une réduction de 0,1 point de pourcentage de la croissance et une augmentation de 0,3 point de pourcentage de l'inflation, a ajouté Gourinchas.
Le FMI fixe également désormais la croissance mondiale à 3% en 2028, ses perspectives de croissance sur cinq ans les plus basses depuis la première publication des WEO en 1990, reflétant un ralentissement naturel de la croissance à mesure que certaines économies émergentes arrivent à maturité, mais aussi une croissance plus lente de la population active et une fragmentation du marché. l'économie mondiale selon des lignes géopolitiques, marquées par les tensions américano-chinoises et la guerre de la Russie en Ukraine.
De David Lawder
WASHINGTON (Reuters) – Le Fonds monétaire international a légèrement réduit mardi ses perspectives de croissance mondiale pour 2023, la hausse des taux d'intérêt refroidissant l'activité, mais a averti qu'une grave flambée de turbulences dans le système financier pourrait réduire la production à des niveaux proches de la récession.
Le FMI a déclaré dans son dernier rapport sur les perspectives de l'économie mondiale que les risques de contagion du système bancaire ont été contenus par des mesures politiques fortes après les faillites de deux banques régionales américaines et la fusion forcée du Credit Suisse. Mais la tourmente a ajouté une autre couche d'incertitude en plus de l'inflation obstinément élevée et des retombées de la guerre de la Russie en Ukraine.
"Avec la récente augmentation de la volatilité des marchés financiers, le brouillard autour des perspectives économiques mondiales s'est épaissi", a déclaré le FMI alors que lui-même et la Banque mondiale lancent leurs réunions de printemps cette semaine à Washington.
"L'incertitude est élevée et l'équilibre des risques s'est déplacé fermement vers le bas tant que le secteur financier reste instable", a ajouté le Fonds.
Le FMI prévoit désormais une croissance du pib réel mondial de 2,8 % pour 2023 et de 3,0 % pour 2024, marquant un net ralentissement par rapport à la croissance de 3,4 % en 2022 en raison du resserrement de la Politique monétaire.
Les prévisions pour 2023 et 2024 ont été revues à la baisse de 0,1 point de pourcentage par rapport aux estimations publiées en janvier, en partie en raison de performances plus faibles dans certaines grandes économies ainsi que des attentes d'un nouveau resserrement monétaire pour lutter contre l'inflation persistante.
Les perspectives américaines du FMI se sont légèrement améliorées, avec une croissance en 2023 prévue à 1,6 % contre 1,4 % prévu en janvier, les marchés du travail restant solides. Mais le Fonds a revu à la baisse ses prévisions pour certaines grandes économies, dont l'Allemagne, qui prévoit désormais une contraction de 0,1 % en 2023, et le Japon, qui prévoit désormais une croissance de 1,3 % cette année au lieu de 1,8 % prévu en janvier.
Le FMI a relevé sa prévision d'Inflation sous-jacente pour 2023 à 5,1 %, contre une prévision de 4,5 % en janvier, affirmant qu'elle n'avait pas encore culminé dans de nombreux pays malgré la baisse des prix de l'énergie et des denrées alimentaires.
"La Politique monétaire doit rester axée sur la stabilité des prix" pour maîtriser les anticipations d'Inflation, a déclaré l'économiste en chef du FMI, Pierre-Olivier Gourinchas, lors d'une conférence de presse.
Dans une interview à Reuters, Gourinchas a déclaré que les banques centrales ne devraient pas arrêter leur lutte contre l'inflation en raison des risques pour la stabilité financière, qui semblent "très contenus".
SCÉNARIOS DE TURBULENCES BANCAIRES
Alors qu'une crise bancaire majeure ne figurait pas dans la ligne de base du FMI, Gourinchas a déclaré qu'une détérioration significative des conditions financières pourrait se reproduire alors que les investisseurs nerveux tentent de tester le "prochain maillon faible" du système financier comme ils l'ont fait avec le Credit Suisse.
Le rapport comprenait deux analyses montrant que les turbulences financières ont des impacts modérés et graves sur la croissance mondiale.
Dans un scénario « plausible », les tensions sur les banques vulnérables - certaines comme la Silicon Valley Bank et la Signature Bank (OTC : SBNY ) en faillite, accablées par des pertes non réalisées en raison du resserrement de la Politique monétaire et dépendant de dépôts non assurés - créent une situation où « les conditions de financement pour tous banques se resserrent, en raison d'une plus grande inquiétude pour la solvabilité des banques et des expositions potentielles à travers le système financier", a déclaré le FMI.
Ce « resserrement modéré » des conditions financières pourrait réduire de 0,3 point de pourcentage la croissance mondiale pour 2023, la ramenant à 2,5 %.
Le Fonds a également inclus un scénario de baisse sévère avec des impacts beaucoup plus larges des risques de bilan bancaire, entraînant de fortes réductions des prêts aux États-Unis et dans d'autres économies avancées, un recul majeur des dépenses des ménages et une fuite des fonds d'investissement vers valeurs refuges libellées en dollars.
Les économies de marché émergentes seraient durement touchées par la baisse de la demande d'exportations, la dépréciation de la monnaie et une flambée de l'inflation.
Ce scénario, que Gourinchas a évalué à 15% de probabilité, pourrait réduire la croissance de 2023 de 1,8 point de pourcentage, la ramenant à 1,0% - un niveau qui implique une croissance du pib par habitant proche de zéro. L'impact négatif pourrait être d'environ un quart de l'impact récessif de la crise financière de 2008-2009.
D'autres risques à la baisse mis en évidence par le FMI comprennent une Inflation élevée persistante qui nécessite des hausses plus agressives des taux de la banque centrale, l'escalade de la guerre de la Russie en Ukraine et des revers dans la reprise de la Chine après le COVID-19, y compris une aggravation des difficultés dans son secteur immobilier.
RISQUE DU PRIX DU PÉTROLE
Les prévisions du FMI n'incluent pas l'impact d'une récente réduction de la production de pétrole par les pays de l'OPEP+ qui a provoqué une flambée des prix du pétrole. Il suppose un prix mondial moyen du pétrole de 73 dollars le baril en 2023 – bien en dessous du prix à terme du Brent de 84 dollars de lundi , mais Gourinchas a déclaré qu'il n'était pas clair si ce niveau pouvait être maintenu.
Pour chaque hausse de 10% du prix du pétrole, les modèles du FMI montrent une réduction de 0,1 point de pourcentage de la croissance et une augmentation de 0,3 point de pourcentage de l'inflation, a ajouté Gourinchas.
Le FMI fixe également désormais la croissance mondiale à 3% en 2028, ses perspectives de croissance sur cinq ans les plus basses depuis la première publication des WEO en 1990, reflétant un ralentissement naturel de la croissance à mesure que certaines économies émergentes arrivent à maturité, mais aussi une croissance plus lente de la population active et une fragmentation du marché. l'économie mondiale selon des lignes géopolitiques, marquées par les tensions américano-chinoises et la guerre de la Russie en Ukraine.
bonjour à tous j'ai découvert ce forum en discutant avec des membres au salon de l'AT
"Avec la récente augmentation de la volatilité des marchés financiers, le brouillard autour des perspectives économiques mondiales s'est épaissi"
La récente augmentation de la volatilité des marchés financiers ? Ils regardent quel marché ?
La récente augmentation de la volatilité des marchés financiers ? Ils regardent quel marché ?
Long nq
Spoiler:
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